NOS ARTICLES

Outils et méthodes

Les clés d’une communication du changement réussie

Les clés d’une communication du changement réussie

Ces dernières années, de nombreuses entreprises ont dû faire face à des transformations majeures pour diverses raisons : l’arrivée de nouvelles générations sur le marché de l’emploi,  environnement changeant, digitalisation et l’arrivée de l’intelligence artificielle etc. Malheureusement, ces changements suscitent souvent incertitude, peur et résistance chez les employés. 

Pourquoi communiquer sur le changement ?

 eLa communication du changement aide à réduire les réactions négatives et les résistances. Cependant, la communication du changement a pour objectif principal de communiquer sur un changement en cours ou à venir vers l’ensemble des parties prenantes de l’organisation de manière transparente et inspirante afin d’informer, de fédérer et d’impliquer l’ensemble de l’organisation autour d’un projet commun.

D’après une enquête menée en 2020 par Prosci auprès de plus de 1800 professionnels et consultants, les 3 éléments-clés d’un changement réussi sont :

  1. Le soutien des dirigeants
  2. Une gestion du changement structurée
  3. Une communication fréquente et ouverte

Pourtant, la communication du changement est souvent négligée, entraînant incompréhension, fake news, rumeurs, projections, résistances et surtout, de la souffrance inutile. Or, si vous souhaitez mener votre trajet de changement à bien et embarquer vos collaborateurs à bord dès le départ, une communication du changement structurée et transparente est votre meilleure alliée.

D’après l’accompagnement de Convidencia auprès de plus de 200 organisations, la communication est perçue comme un élément clé de la réussite d’un trajet de changement

Les éléments-clés pour une communication du changement réussie

Vous l’aurez compris, la communication du changement maintient l’engagement et la motivation des employés, favorise l’acceptation et l’appropriation du changement, et garantit le succès de la transformation organisationnelle.

Pour ce faire, il est important d’établir un plan de communication du changement incluant plusieurs éléments clés :

La communication du changement est un élément clé pour réussir tout projet de transformation en entreprise. Convidencia, grâce à son expertise et son accompagnement personnalisé, peut aider les entreprises à élaborer une stratégie de communication efficace pour faciliter la transition vers le changement. Et surtout, notre approche est adaptée au changement agile et participatif dans des environnements complexes et incertains. C’est la touche essentielle qui fait la différence et fait gagner beaucoup de temps, d’argent et d’énergie. 

Contactez-nous pour en savoir plus sur notre offre de service en communication.

D’autres l’ont fait, pourquoi pas vous ?

 

Le Hack’n Wow #2, le hackathon où le sport rencontre la culture

Le Hack’n Wow #2, le hackathon où le sport rencontre la culture

Du 22 au 24 mars 2023, la deuxième édition du Hack’n WOW de l’ETNIC, le partenaire informatique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, se déroulait au Centre Culturel Marcel Hicter (La Marlagne), sur les hauteurs de Namur. En tant que leader en matière d’organisation de hackathons, Convidencia a été contactée par l’ETNIC afin d’en être de la partie. D’autant plus que, cette année, ce n’était pas un hackathon comme les autres…

Pour rappel, un hackathon… c’est quoi ?

Le but principal d’un hackathon est de produire du contenu innovant (« hack »), principalement sous forme numérique, en réponse à un défi prédéfini. Ce défi doit être relevé en un temps limité, généralement entre 1 et 3 jours, d’où l’utilisation de l’expression “marathon” pour décrire cette épreuve intensive.

Les participants, issus de tous les horizons : entrepreneurs, étudiants, experts en informatique, ou non… se réunissent dans le but de faire émerger de nouvelles idées, de créer un nouveau concept… afin de répondre à un challenge défini. Cet événement favorise la collaboration entre les participants et permet de mettre en commun leurs compétences complémentaires pour atteindre un même objectif.

Pour en savoir plus sur les hackathons, c’est par ici.

Le Hack’n WOW #2 : un hackathon, deux expériences

Pour cette seconde édition, l’ETNIC et Convidencia ont vu les choses en grand puisqu’il ne s’agissait pas que d’un seul hackathon, mais d’un hackathon dupliqué. En effet, celui-ci se déroulait sur deux sites différents : le Hack’n WOW au Centre culturel de La Marlagne à Namur et son jumeau le « Créathon » se déroulant à la Faculté Polytechnique de Mons.

Pour mieux comprendre cette innovation, notre professionnel des hackathons, Michel, nous en dit un peu plus :

« Nous avons organisé, pour la première fois, un hackathon dupliqué, ce qui implique que nous avons cassé les codes du hackathon traditionnel, qui est habituellement limité à 120 participants. Là, on a pu augmenter le nombre de participants à 200 grâce à cet événement jumeau ! C’est la première fois, à ma connaissance, que ce genre d’événement, mobilisant 200 participants, a lieu en Belgique.

Les deux sites travaillaient sur la même thématique, avec les mêmes challenges. En termes d’événements, les participants ont vécu des expériences communes (démonstration de break dance, spectacle d’impro…) à Namur et à Mons. En plus de ça, les experts, coachs et facilitateurs de Convidencia et de l’ETNIC présents à Namur ont pu aider les étudiants de Mons [et inversement]. Le jury de Mons a aussi pu évaluer les projets de Namur et vice versa.

 

Le Hack’n WOW #2 est une vraie réussite car les participants des deux sites ont apprécié l’expérience, dans un événement à taille humaine. Nous avons validé beaucoup d’hypothèses comme la faisabilité d’organiser ce genre d’événement avec différents sites en parallèle. Ceci nous permet de préparer désormais des mega hackathons, en conservant l’esprit du hackathon, les résultats des hackathons, sans pour autant transformer l’expérience en salon ou en festival. »

Le Hack’n WOW #2 vu par les participants

Cette année encore, des participants venant de divers horizons ont pu prendre part à ce hackathon : des étudiants de l’EPHEC, de la Polytech Mons et de la HELB, des membres de l’ADEPS, des collaborateurs de l’ETNIC, du Ministère de la FWB, des citoyens, des entrepreneurs… Nous en avons donc profité pour récolter quelques témoignages.

Qu’est-ce qui vous a motivé à participer à ce Hackathon ? 

« Pour l’expérience déjà. Après moi je suis venu ici sans savoir ce que j’allais faire exactement parce que je n’avais jamais participé à un hackathon. L’école et les profs nous motivent vraiment à le faire, mais on n’a pas pour autant de malus si on n’y participe pas. »

Quels sont vos ressentis en cette fin de Hackathon ?

 « On a assez peu dormi quand même, mais c’est chouette ! Il y a une bonne ambiance entre les groupes et puis cette proximité entre professionnels et étudiants est vraiment intéressante. »

Pensez-vous vous réinscrire l’année prochaine ? 

« Pourquoi pas. Ça reste une chouette expérience du fait de rencontrer des gens et de se créer des contacts, il y a déjà un petit réseau qui se joue donc je suis quand même content ! »

En bref, du challenge, de l’innovation et surtout beaucoup d’amusement ont rythmé ce hackathon ! Si vous aussi vous désirez participer à cette belle expérience du Hack’n WOW, rendez-vous l’année prochaine pour la troisième édition.

Vous êtes à la recherche d’un partenaire pour vous aider à organiser un hackathon au sein de votre organisation ou université ? N’hésitez pas à nous contacter !

Le change management : pourquoi et comment le conduire ?

Le change management : pourquoi et comment le conduire ?

A l’heure actuelle, toute entreprise ou organisation, quelle qu’elle soit doit faire face à de nombreux changements : restructuration, digitalisation… S’adapter à ceux-ci est devenu un véritable défi pour acquérir, maintenir et/ou améliorer une position sur le marché économique. Le change management peut offrir une réponse à ces défis.

L’ajustement des entreprises 

La période de crise sanitaire a contraint nombre de ces entreprises à adapter l’organisation des horaires de travail avec le retour au bureau et le travail hybride, à ajuster les règles de sécurité, à former son personnel ou à mettre tout simplement de nouvelles habitudes en place… Ces adaptations ne se font pas aisément, elles requièrent du temps, de l’énergie voire des investissements. 

Le change management en 6 étapes 

La gestion du changement ou « change management » est une approche qui cible les changements organisationnels de l’entreprise. Elle vise, entre autres, à analyser l’usage des ressources disponibles, à identifier les processus opérationnels, à examiner les affectations budgétaires… Ceci requiert un travail conséquent et prend du temps. Il sollicite également une prise d’informations régulière de toutes évolutions organisationnelles présentent dans la société.

Pour construire une stratégie efficace de « change management », il est nécessaire d’être structuré et de procéder étape par étape sans oublier d’intégrer l’aspect humain dans le processus.

9 types Ennéagramme
1. Identifier le(s) changement(s) à opérer et en comprendre les raisons

Pour modifier la/les stratégie(s) d’organisation au sein d’une entreprise (ou organisation), il est essentiel d’identifier au préalable ses besoins, les raisons rendant le changement nécessaire et les objectifs à atteindre. Il est également important de communiquer clairement ces raisons aux collaborateurs et autres personnes affectées par le changement, afin de leur permettre de comprendre et de soutenir la transition

2. Impliquer les collaborateurs

Tout changement concerne inévitablement tous les collaborateurs et travailleurs de l’entreprise. De potentielles réticences de leur part peuvent entraver le processus entamé.  Il est primordial de les impliquer dès le début du processus, en les informant et en les consultant pour obtenir leur soutien et leur collaboration. Expliciter clairement les bénéfices de la dynamique est essentiel.

3. Elaborer un plan d’action

A partir de ce relevé, il s’agit ensuite de définir des objectifs précis et réalistes à atteindre, d’établir un planning (à respecter), d’identifier les risques et les obstacles, de définir les étapes clés du processus, d’évaluer le budget nécessaire à leur réalisation et de mesurer les progrès.

4. Communiquer efficacement

La communication est essentielle pour assurer la réussite du changement. Les messages doivent être clairs, cohérents et fréquents, afin de maintenir l’engagement des collaborateurs tout au long du processus de changement.

5. Former et soutenir les employés

Les employés doivent être formés et soutenus pour réussir la transition. Cela implique de fournir des formations pour acquérir les compétences nécessaires, de soutenir les employés pendant la période de changement et de les aider à surmonter les obstacles

6. Adapter la stratégie

Tout au long du processus de « change management », l’analyse des résultats obtenus doit être assurée. C’est à partir de celle-ci que des ajustements éventuels seront identifiés et mis en place. 

Finalement, pourquoi adopter la méthode de change management ? 

Simplement pour amorcer le changement que toute entreprise ou organisation se doit de définir en identifiant les initiatives stratégiques à adopter, en recourant progressivement aux nouvelles technologies et réagir ainsi sereinement aux évolutions du marché. 

Convidencia est le partenaire qui peut préparer, soutenir et aider votre entreprise à faire les choix stratégiques pour construire leur avenir. N’hésitez pas à nous contacter pour amorcer votre changement.

L’intégration de la résolution de conflit au travers d’un jeu de société

L’intégration de la résolution de conflit au travers d’un jeu de société

Fin février, nos deux stagiaires, Laetitia et Margot, ont parcouru un petit bout de l’Europe pour se rendre à Kiel, en Allemagne. C’est avec le CISV Belgium, une organisation internationale d’éducation à la paix reconnue par l’UNESCO, et partenaire de Convidencia, et TRUTH Project qu’elles ont pu partir à l’aventure et participer à l’organisation d’un projet de collaboration, autour de la résolution de conflit, entre trois pays : la Belgique, l’Allemagne et le Chili. Aujourd’hui, elle nous emmène à la découverte de ce projet qui les a animées durant 10 jours.

Le projet TRUTH, c’est quoi ? 

Le programme TRUTH a pour ambition d’offrir aux jeunes la possibilité d’acquérir des compétences dans des domaines leur permettant d’assumer un rôle central dans la société. Les domaines dont il est question sont : la résolution de conflit, la gestion de la diversité et la négociation multiculturelle.

Dans le cadre de cet objectif, le voyage en Allemagne consistait à mener un projet autour de la problématique de la résolution de conflit. Celui-ci se déroulait au sein d’une école allemande avec des élèves d’une classe (20 élèves) de moyenne d’âge de 16 ans. Le but étant de sensibiliser ces jeunes à cette problématique, au travers l’élaboration d’un jeu de société.

4 demi-journées pour se former, coopérer et créer 

Partager des connaissances, communiquer, vivre des expériences sont les mots d’ordre du projet TRUTH. Il n’était donc pas envisageable de passer à côté d’une petite présentation des différents membres du CISV ainsi que de nos deux stagiaires. Pour ce faire, une activité sous forme de speed dating a été organisée. Le but était simple : prendre le temps de faire connaissance. C’est donc divisé en 8 groupes de 3-4 étudiants et d’un membre CISV que les discussions en anglais se sont enchainées : « si tu étais un moyen de transport, lequel serais-tu ? », « Quelles sont tes attentes par rapport à ce projet ? », « Quel est le métier de tes rêves ? »… Tant de questions qui peuvent aboutir sur de beaux moments de partage et de rires.

Comment intégrer la résolution de conflit auprès des jeunes ?

Pour cela, une activité sous forme de jeu de rôle a été proposée aux élèves. Le but principal étant de leur faire prendre conscience de manière ludique de l’importance de cette thématique. C’est après avoir réparti les élèves en deux classes de 9-10 que l’activité a pu être lancée. Au sein de ces sous-classes, les élèves devaient former des groupes de 3-4 personnes. Chaque groupe jouait un rôle défini :

  • Rôle 1 : Imiter la situation de conflit donnée. Par exemple, vos parents vous demandent, à toi et tes frères, de ranger la maison pour accueillir vos grands-parents, mais aucun de vous ne se met à la tâche estimant que c’est à l’autre de le faire. Une dispute éclate alors…
  • Rôle 2 : Trouver la cause du conflit
  • Rôle 3 : Trouver des solutions au conflit

Cette activité leur a véritablement permis d’identifier qu’un conflit pouvait survenir pour diverses raisons, mais que des solutions existent le tout étant évidemment de les trouver.

Par la suite, les élèves ont pu mettre en pratique ce qu’il venait d’apprendre. Par groupe de maximum 5 étudiants, ils ont discuté, créé et inventé un jeu de société incluant la thématique de la résolution de conflit. Partant de jeux de société connus, tels que le Monopoly, Uno ou encore le Loup garou, ils ont pu laisser libre cours à leur imagination : intégrer de nouvelles règles, inventer de nouveaux rôles, changer le but du jeu initial…

En voici un aperçu en images :

Convidencia collabore et co-créé avec de nombreux partenaires, découvrez-les ici !  

L’Ennéagramme vs Myers – Brigs (MBTI)

L’Ennéagramme vs Myers – Brigs (MBTI)

Dans la majorité des magazines que nous consultons, nous voyons de plus en plus apparaitre des tests pour définir notre type de personnalité. Certains plus farfelus que d’autres. En existe-t-il des fiables ? Et si nous regardions de plus près ceux de l’Ennéagramme et le Myers Briggs Type Indicator(MBTI) ? 

L’Ennéagramme, késako ? 

L’Ennéagramme fait partie du courant psychologique humaniste qui s’appuie sur une vision positive de la personne.  Ce modèle s’intéresse à la volonté de se réaliser, c’est-à-dire explorer son potentiel. La méthode de l’Ennéagramme intervient dans le développement personnel du management.  

Concrètement, il se construit sous forme d’un diagramme et de neuf structures de caractères pour nous aider à répondre aux questions « Qui suis-je ? » et « Qui sont les personnes que j’ai autour de moi ? ».  

Mais ce concept ne permet pas seulement d’effectuer une introspection, il permet également de mettre en lumière ce qui motive nos comportements automatiques. En expliquant nos réactions lors de situations de stress ou dans tout autre contexte ayant une incidence sur notre attitude.  Dans ce cas il répond au « pourquoi je réagis comme ceci ? » et pas uniquement au « comment j’ai l’habitude de réagir?».  

Dans le cadre de l’entreprise, l’Ennéagramme peut représenter pour les collaborateurs bons nombres d’aspects bénéfiques. Comme une meilleure assimilation de son propre fonctionnement, mais également de ceux des autres qui facilitera les échanges lors de travaux en équipes. 

Pour un manager ou un chef de projet, ce type d’outil de développement va permettre de mieux comprendre comment vos collaborateurs en identifiant plus aisément les signaux que votre équipe de travail peut envoyer comme ceux liés au stress.  Vous allez également pouvoir mieux agencer vos projets en fonction des talents humais qui composent votre équipe afin d’être le plus efficace possible.

 

On retrouve parmi les 9 types :  

9 types Ennéagramme

Mais pourquoi faire appel à l’ennéagramme ? 

  • Apprendre à se connaître 
  • Identifier ses peurs  
  • Identifier ses motivations inconscientes  
  • Cerner les gens qui nous entourent


Envie d’identifier votre profil Ennéagramme ? 

Rendez-vous ICI ! 

Qu’est-ce que le MBTI ?  

Le Myers Briggs Type Indicator (MBTI) est un processus établissant des types de personnalités différentes selon 4 facteurs : 

  1. Le tempérament : introverti ou extraverti  
  2. Sensations ou intuition  
  3. La capacité décisionnelle : rationnelle ou émotionnelle  
  4. La manière dont nous agissons :  organisés ou spontanés (importance de la perception) 

L’idée est de déterminer grâce à un questionnaire quel est son type de personnalité selon 16 profilsdifférent les uns des autres. Ces types sont identifiés par des lettres : I pour introverti, E pour extraverti, S pour sensation, N pour intuition, T pour thinking (la pensée) et F pour feeling (le sentiment).  Ces lettres sont alors associées pour définir une personnalité déclinable en 16 « identités » comme le protagoniste (ENFJ) qui est un passionné et un véritable leader tout en étant attentif aux individus qui l’entourent.  

Mais pourquoi faire appel au MBTI ? 

  • Améliorer le management dans votre entreprise. 
  • Gérer le stress 
  • Repenser et améliorer la communication dans vos relations 
  • Aider à gérer le changement  

Envie d’identifier votre profil MBTI ? 

Rendez-vous ICI 

4 facteurs MBTI

Et si on les comparait ?  

Comparaison Ennéagramme et MBTI

Ces tests de personnalité qui vous cernent sont-ils complémentaires ?  

Bien évidemment, même si ces deux modèles sont différents sur certains points, ces derniers peuvent s’associer ensemble afin d’avoir un type de profil assez précis. Dans le cadre du management, on mettra davantage l’accent sur les motivations de l’individu en essayant de comprendre les motivations de chacun. Qu’elles soient conscientes comme l’intérêt porté au salaire et au besoin de reconnaissance ou inconscientes avec l’envie de réussite. L’Ennéagramme utilise des paramètres pour expliquer ces types de comportements et essayer de les comprendre. À l’inverse, le MBTI aide à identifier le profildes individus pour anticiper les modes de fonctionnement et améliorer les relations.  

De ce fait, ces deux types peuvent se compléter pour établir des profils plus affinés et plus représentatifs des personnes qui les utilisent. Il est également important de prendre du recul sur les résultats obtenus pour voir la valeur ajoutée et non le côté négatif. 

Le profil d’un des membres de Convidencia ! 👀

Profil MBTI Marlène de Convidencia
Une année riche en Hackathons !

Une année riche en Hackathons !

L’année 2021 ne fut pas de tout repos ! En effet, notre petite équipe a organisé et participé à pas moins de 4 Hackathons en l’espace de 3 mois seulement ! Bruxelles, Liège et même à Lille, notre Michel national a eu du boulot depuis septembre ! Le numérique, l’énergie, le climat, les thématiques de ces hackathons étaient assez diverses. Rétrospective de ces derniers mois chargés en Hackathons!

Un HackAtech sous le soleil

La première étape de ce marathon ( sans mauvais jeu de mots ) se déroulait au centre Inria Sophia Antipolis – Méditerranée dans lequel se tenait du 24 au 26 septembre dernier le HackAtech. Les thématiques principales de ce marathon de 48 heures étaient la mobilité , l’environnement et la santé. Une des particularités de cet Hackathon était que les participants devaient mobiliser une technologie numérique d’Inria, comme « Linkage » qui permet d’analyser les réseaux de communication ou encore « Fed-BioMed », permettant d’exploiter des données réparties sur plusieurs sites sans les faire circuler. Des chercheurs Inria étaient également présents afin d’accompagner les participants dans l’utilisation de ces technologies. Mais Inria c’est qui au juste ? Il s’agit de l’institut national de recherche en informatique et en automatique, c’est un institut public français qui a pour mission de développer la recherche et la valorisation en sciences et techniques de l’information et de la communication.

Différents prix ont été attribués lors de cet évènement, nous retiendrons le Grand Prix du Jury qui a été décerné au projet « CR’HOPE » qui consiste en « une solution de monitoring des insectes nuisibles dans les parcelles à l’aide de détection et classification automatique des insectes […] ». D’ailleurs en parlant d’insectes, il faut savoir que les participants ont eu une drôle de visite ! En effet, une invasion de fourmis a eu lieu au moment du hackathon ! 😱 Assez cocasse non ? Et niveau galère ce n’est pas tout , l’amphithéâtre a également été victime d’inondations ! Décidément, le sort avait décidé de s’acharner sur les participants. Néanmoins, il ne s’agissait que de petites péripéties et le hackathon a été un franc succès. Ne gardons que les bons souvenirs en tête et notre Michel préféré a déjà choisi le sien : «  La nourriture, elle était juste incroyable ! »

Plus d’infos sur l’événement.

Plus de 100 participants pour le Hackathon d’Elia !

La deuxième étape de cette rétrospection nous emmène cette fois dans notre belle capitale : Bruxelles ! Les 13,14 et 15 octobre derniers avaient lieu le Hackathon organisé par Elia Group, le gestionnaire de transport d’électricité en Belgique. Durant cet Hackathon, les participants avaient la tâche de relever l’un des défis proposés par Elia, en élaborant un projet gravitant autour du thème de la consommation d’électricité. Voici des exemples de défi que les participants ont dû relever : Aider les consommateurs à choisir les bons fournisseurs de services, il s’agira donc de développer un outil qui aidera les consommateurs à tirer le meilleur parti de leurs données énergétiques et à réduire leurs factures d’énergie. Un autre exemple : Prédire la quantité d’énergie dont les consommateurs auront besoin, il s’agira donc de concevoir une solution qui pourrait permettre aux fournisseurs d’énergie de prédire combien leurs clients devront utiliser d’énergie non flexible.

Cet évènement a rencontré un très grand succès ! En effet, plus de 100 participants issus de différentes entreprises ( 20 au total)  répartis en 14 équipes ont pris part au Hackathon organisé par Elia. De grands noms ont également fait l’honneur de leur présence dont notamment la Ministre fédérale de l’énergie : Tinne Van der Straeten qui a même aidé certaines équipes ! Google était également de la partie, tout comme Stijn Christiaens de Collibra qui n’est autre qu’une des licornes de Belgique !

L’équipe gagnante de cet Hackathon est la team Green Bid qui a su relever tous les défis imposés avec leur projet : proposer aux « prosommateur » de vendre leur énergie solaire excédentaire ! Ils sont donc repartis avec l’opportunité de passer 14 semaines à développer leur projet avec le soutien de The Nest , incubateur numérique d’Elia.

Catherine, notre consultante en facilitation et développement d’équipe,  était sur place et nous raconte : «  C’était mon tout premier hackathon ! Ce qui m’a frappé en premier était l’ambiance un peu fourmilière et dans laquelle tout le monde savait ce qu’il avait a faire. Il y avait aussi une certaine flexibilité, tout le monde était disponible pour aider. Chose que j’ai trouvé très positive ! Il y avait une véritable envie d’aller de l’avant et de surmonter les problèmes en trouvant des solutions. On cherchait la simplicité. Le jury était composé de membres assez influents, c’était impréssionnant ! Les coachs quant à eux, étaient présents pour aider les groupes de travail. Il y a eu beaucoup de collaboration entre coachs. Une chose qui m’a surprise : les participants arrivaient très tôt et partaient très tard pour pouvoir travailler le plus longtemps possible. Il y avait une certaine émulation, ce qui était assez frappant. »

Plus d’infos sur l’événement

Troisième édition du Climathon de Liège !

Troisième escale de notre périple : la cité ardente, autrement dit Liège. Le 28 octobre dernier, débutait le Climathon Liège regroupant 80 participants issus de milieux divers ( politiques,entrepreneurs,etudiants,…) repartis en 12 équipes de moins de 30 ans. Le thème de cet hackathon ? Le développement des projets pour rendre la ville de liège plus verte, durable et où il fait bon vivre, le tout, en 48 heures. La Belgique et Liège en particulier a beaucoup souffert des inondations de cet été. L’un des défis ( parrainé par la WWF-Belgium d’ailleurs) de ce climathon était, de réfléchir à des solutions afin de réduire les conséquences d’un tel phénomène météorologique. Un projet s’est démarqué et a relevé haut la main ce défi, il s’agit du projet Hydroflore qui consiste à installer des berges naturelles ainsi qu’à végétaliser des berges en béton, afin d’éviter les inondations et libérer de l’humidité dans le but d’empêcher la sécheresse. Les projets retenus se voyaient offerts l’opportunité de concrétiser leurs idées grâce, notamment, à la mise en place de coaching personnalisé, des formations et bien d’autres outils !

Il faut se rendre compte que le Climathon n’est pas un évènement de petite envergure, bien au contraire. En effet,  l’Union Européenne elle-même supporte les Climathons. De ce fait, il est important de prendre conscience de l’opportunité incroyable que cela représente pour une ville comme liège. D’autant plus qu’il ne s’agit pas là de la première édition, mais bien de la 3ème ! Preuve en est que les climathons et liège attirent beaucoup !

Plus d’infos sur l’événement

Lille organise son deuxième HackAtech !

Dernière étape de cette rétrospective : La France ! Lille accueillait les 25,26 et 27 novembre derniers le HackATech. Après le  succès rencontré lors de sa première édition à Lille en 2020 , Inria ( vous savez de qui il s’agit maintenant !) a décidé d’organiser une deuxième édition à Lille. Le concept d’un hackAtech consiste à favoriser le développent de ce que l’on appelle les «  startup deep tech ». Il s’agit de jeunes entreprises dont les techniques sont considérées comme très innovatrices. Cette édition a représenté un marathon de 54 heures ! Chercheurs , scientifiques et ingénieurs étaient également de la partie pour accompagner les 8 équipes à mettre en place 11 projets  qui répondent à des challenges sur des usages de technologie numérique et tester leur viabilité, tout en s’appuyant sur l’expertise d’Inria. 3 projets ont été retenus et récompensés par le jury :

  1. Le projet AVA MARITIME remporte le prix du challenge libre pour sa « Solution de détection de chute de conteneurs sur porte-conteneurs en mer »
  2. Le projet NIJTA remporte le prix du challenge scientist pour son projet sur le « Traitement de données vocales anonymisées pour les call centers »
  3. Le grand prix du Jury est attribué à DYJEST pour sa « Solution de suivi et de réduction de l’intensité des symptômes du Syndrome de l’Intestin Irritable ».

Ces projets se verront être accompagnés par Inria et ses partenaires afin de donner vie à leurs idées et développer leur start up !

Notre Michel qui était sur place etqui a animé l’événement nous raconte : «  Cet HackAtech était vraiment particulier, car pour la première fois il y avait un jury technique en plus du jury oral traditionnel. Le jury technique évaluait le choix des technologies choisies par les équipes et cela valait pour 1/5e de la note. Les participants ont dû expliquer pourquoi avoir utilisé telle ou telle technologie et justifier pourquoi était-elle la plus adéquate. De plus, un référent tech a été assigné à chaque équipe alors que d’habitude ce n’est pas le cas, mais ici oui, un expert était désigné pour chaque équipe. D’ailleurs, ces dernières ont été très efficaces, car au sein d’une même équipe on retrouvait des binômes ou des trinômes, et ils se sont réparti les tâches à faire afin d’avancer plus vite et ne pas tous se retrouver à travailler ensemble sur un point précis. De plus, la qualité des projets était très bonne, les démos techniques étaient fonctionnelles ( chose assez rare ) et les présentations étaient également très qualitatives. Pour preuve, le jury a eu le plus grand mal à désigner les gagnants tant les projets étaient très bons ! Au final, le jury a attribué 3 prix. Il faut savoir qu’une autre particularité de cet Hackathon est que les participants étaient des chercheurs, doctorants et scientifiques, ils n’avaient pas l’habitude de créer un projet en aussi peu de temps. D’habitude ils disposent de 6 mois pour réaliser un projet et là ils n’ont eu que 3 jours pour « prototyper ». Ils sont sortis de leur zone de confort et ça, c’était vraiment cool ! ».

Plus d’infos sur l’événement

Terminus, tout le monde descend !

C’est ici que s’achève notre périple de 4 hackathons en l’espace de 3 mois. Ce fut intense, mais très enrichissant en tous points ! Félicitations à tous les participants pour leurs idées et leurs projets, nous sommes très fiers d’avoir pu participer à tous ces hackathons et nous vous donnons rendez-vous en 2022 pour de nouvelles aventures ! 

Cet article sur les hackathons vous a intéressé ? Rendez-vous sur notre Newsletter pour plus d’infos !

 

Envie d’organiser votre propre hackathon ? Prenez dès à présent rendez-vous avec l’un de nos spécialistes ! 

Des fêtes de fin d’année sous le signe de la gratitude et de la sérénité

Des fêtes de fin d’année sous le signe de la gratitude et de la sérénité

 

Quelle fête de fin d’année est votre favorite  ? Noël, célébrant le partage et la convivialité en famille  ? Le nouvel an, synonyme de renouveau et de bonnes résolutions  ? Voire, qui sait, la galette des rois, dont l’origine symbolise l’inversion des rôles  ? 

Chez Convidencia, peu importe l’occasion, car toutes sont bonnes pour faire preuve de gratitude et de reconnaissance envers ses collaborateurs. Et cette période de fin d’année y est particulièrement propice. Que vous souhaitiez célébrer l’année parcourue, ou bien rebooster vos collaborateurs pour l’année à venir, vous trouverez ci-dessous de quoi combler vos envies, grâce à notre liste 2021 – 2022 des meilleurs cadeaux collaboratifs 100% Convidencia  ! 

1. NOTRE LIVRE PARTICIPAGILE 

 

Votre objectif  ? Rendre vos équipes plus efficaces en développant la participation et l’agilité au sein de votre organisation. 

Le livre en deux mots : Ce livre vous présente comment transformer concrètement votre organisation et rendre vos équipes plus efficaces. ParticipAgile est rempli d’outils simples, de retours d’expériences concrètes, d’anecdotes croustillantes et de dessins illustrant tout cela de manière drôle et décalée. C’est LE livre pour vous accompagner dans le “comment faire”, combinant expertise et humour. Lionel et Michel vous offrent une véritable boîte à outils hyper pragmatique pour atteindre en peu de temps des résultats surprenants avec vos équipes. 

Plus d’infos : ParticipAgile – Comment développer la participation et l’agilité dans votre organisation. 

Votre budget : 49€ TVAC + frais de port (à partir de 6,56 € selon le nombre de livres souhaité et le pays).

    2. NOTRE LIVRE SUR LA COHERENCE EN ENTREPRISE 

    Votre objectif  ? Aborder le changement et les crises avec davantage de sérénité et de résilience, grâce au modèle de la Salutogénèse Appliquée. 

    Le livre en deux mots : Face aux transformations radicales récentes, les incohérences et le management inadéquat règnent en maîtres. Pourtant, le bien-être semble être un prérequis pour une vie épanouissante. A travers une grille de lecture originale, Lionel livre les secrets de l’application concrète des trois piliers de la cohérence dans le monde de l’entreprise. Renforcer les sentiments de «compréhension », de « contrôle » et de « sens » permet de développer résilience et bien-être dans les  situations difficiles. La Salutogénèse Appliquée aide de nombreuses organisations et équipes à faire face beaucoup plus sereinement aux difficultés et à retrouver la sérénité !

    Plus d’infos : La cohérence en entreprise – Relevez le défi avec la Salutogénèse Appliquée. 

    Votre budget : 29€ TVAC 

    3. NOTRE PARTICIPAGILE POKER

     

    Votre objectif  ? Permettre aux équipes d’échanger sur la complexité de différentes tâches et/ou projets en leur attribuant une valeur. 

    Le jeu en deux mots : Si vous vous y connaissez en méthodes agiles ou que vous avez déjà participé à notre formation ParticipAgile Foundation, vous avez très certainement entendu parler du ParticipAgile Poker. Ce jeu de cartes se joue en équipe et permet à chaque collaborateur d’exprimer son ressenti quant à la complexité d’une tâche ou d’un projet en lui attribuant une valeur plus ou moins élevée. Les collaborateurs, dont les niveaux d’expérience et d’expertise sont différents, sont ensuite amenés à discuter de leurs estimations respectives, en équipe. Un jeu simple et participatif, qui permet aux équipes d’échanger sur la complexité et d’avoir une vue plus « juste » de celle-ci. 

    Plus d’infos : ParticipAgile Poker. 

    Votre budget 

    • Pour 1 paquet : 20€ HTVA 
    • Pour 2 paquets : 30€ HTVA 
    • Pour 3 paquets : 40€ HTVA 

    INFOS & COMMANDES ICI 

      4. NOTRE PACKAGE « PARTICIPAGILE »

       

      Votre objectif  ? Vivre l’expérience ParticipAgile dans son intégralité, et apprendre à insuffler la participation et l’agilité au sein de vos équipes, de manière pratico-pratique  ! 

      Le package en deux mots : Choisissez le package « ParticipAgile » et vivez le livre… En vrai  ! Notre package ParticipAgile comprend : 

      • Un exemplaire de notre livre « ParticipAgile – Comment développer la participation et l’agilité dans votre organisation » par participant 
      • Une formation e-learning  
      • Un workshop de deux jours en présentiel 
      • Un quizz certifiant

      Plus d’infos : ParticipAgile – Comment développer la participation et l’agilité dans votre organisation. 

      Votre budget : Sur mesure, nous contacter. 

      INFOS & COMMANDES ICI 

            5. UNE FRESQUE PERSONNALISÉE DE VOTRE CULTURE D’ENTREPRISE

            Votre objectif ? Représenter votre culture d’équipe et/ou d’entreprise de manière visuelle afin que tous vos collaborateurs puissent la comprendre, se la représenter et s’y référer.

            La réalisation d’une fresque en deux mots : Faites réaliser une fresque sur-mesure et tout à fait unique représentant votre culture d’entreprise ! Après un entretien personnalisé durant lequel vous définirez les grandes lignes de votre fresque, nous vous soumettrons plusieurs maquettes. Ce travail d’élaboration sera réalisé en étroite collaboration avec vous, afin que votre fresque reflète au mieux la culture que vous voulez vivre et insuffler au quotidien. Le résultat final sera numérisé, afin que vous puissiez exploiter votre toute nouvelle fresque d’équipe sur tous types de support !

            Votre budget : Sur mesure, nous contacter. 

            INFOS & COMMANDES ICI 

                  5. NOTRE PACKAGE « COHERENCE EN ENTREPRISE »

                  Votre objectif  ? S’approprier la matière du livre de manière concrète et pratique, afin d’apprendre à avancer dans l’incertitude avec davantage de résilience et de sérénité. 

                  Le package en deux mots : Que ce soit de manière autonome ou en interaction avec un animateur, vous pouvez découvrir et approfondir l’outil de la Salutogénèse Appliquée selon 5 manières différentes et combinables :  

                  • Un exemplaire de notre livre « La cohérence en entreprise : Relevez le défi avec la Salutogénèse Appliquée » par participant 
                  • Une formation e-learning 
                  • Une conférence d’inspiration (ou webinaire), entre 1h et 1h30 
                  • Un atelier de découverte d’une demi-journée 
                  • Une journée de mise en pratique 

                    Plus d’infos : La cohérence en entreprise – Relevez le défi avec la Salutogénèse Appliquée. 

                    Votre budget : Sur mesure, nous contacter. 

                    INFOS & COMMANDES ICI 

                      Découvrez également : Un calendrier de l’avent en entreprise

                      Convidencia vous propose de revisiter entre collègues le calendrier de l’Avent. Le but : décompter entre vous les jours avant Noël grâce à un calendrier fun et amusant, en créant un esprit de cohésion et de sérénité en cette fin d’année.

                      Vous souhaitez commander plusieurs articles en une fois, ou bien en grosse quantité ?

                      Contactez-nous !

                      Zoom sur l’adaptation des entreprises durant la crise

                      Zoom sur l’adaptation des entreprises durant la crise

                      Face à la crise sanitaire, beaucoup d’entreprises ont dû se réinventer pour ne pas voir leur qualité de travail diminuer et garder des travailleurs motivés. Comment s’y sont-elles prises et quels sont les effets positifs de cette sombre période ? 

                      Le covid comme accélérateur de transformation 

                      La pandémie a plus que jamais bouleversé nos habitudes de vies tant au niveau de la sphère privée que professionnelle. Alors qu’avant la crise le nombre de jours de télétravail ne s’élevait pas à plus de 1 ou 2 jours par semaine, le télétravail est désormais devenu la norme. Malgré cela, au-delà du télétravail et du digital, la pandémie a été un réel accélérateur de transformation des entreprises. Elles ont dû prendre des décisions malgré leurs incertitudes, ce qui leur a permis de développer leur agilité de décision. Avant la crise, il fallait toujours que tout soit parfait et planifié. Maintenant, les entreprises laissent place à l’incertitude, à la prise d’initiatives et la capacité de pouvoir s’adapter en toute situation. La crise a également amené les managers à être plus empathiques envers ses collaborateurs et à mettre en place des dispositifs pour offrir plus de place à la parole et au dialogue. Innovation, adaptation, agilité des décisions, empathie des managers sont les maîtres mots de ce changement. 

                      9 types Ennéagramme

                       

                      Repenser les méthodes de management 

                      Diriger ses équipes 100 % à distance n’est pas une mince affaire et a nécessité de repenser ses méthodes de management. Il a fallu revoir les méthodes de travail, l’organisation et surtout les méthodes de communication. La vision des managers a également évolué, ne prenant plus en compte la productivité et le temps passé sur la tâche, mais bien le résultat final obtenu. Cela a laissé place à la confiance et non plus à la supervision. L’autonomie, la prise d’initiatives et les responsabilités d’équipes ont également été encouragées. Une belle évolution de ce côté-là. 

                      Pour réussir à accompagner son équipe face au changement, le manager a dû développer des compétences telles que l’écoute, la bienveillance et l’empathie. Pour ce faire, il a donc fallu casser cette barrière hiérarchique et créer un vrai lien avec ses collaborateurs. Cela a permis de rendre les managers plus accessibles et de mieux comprendre les besoins de ses équipes. Certains ont dû faire face au mal être de ses collaborateurs et être à leur écoute afin de proposer des solutions. C’est là qu’on a vu apparaitre des espaces de discussions prévus à cet effet. 

                      Le maintien des liens entre collègues a été un autre point important à prendre en compte. Il était primordial de l’entretenir et de proposer des activités virtuelles telles que des apéros/cafés ou des jeux d’équipe pour garder une certaine cohésion. Et puis rien de mieux qu’une bonne rigolade pour garder le moral des troupes. On en tire dans l’ensemble une meilleure entente entre les collègues et une diminution des tensions au sein des différents groupes. 

                       

                      Quels outils et comment les mettre en place ? 

                      Cependant, le changement n’est pas toujours facile à vivre et met un certain temps avant d’être accepté. De nombreux outils existent afin de faciliter la transition et encourager le changement. Pour qu’elle soit faite de manière sereine, l’étape du changement nécessite un bon accompagnement, car il n’est pas toujours évident d’y voir clair quand on à la tête dans le guidon. C’est pourquoi, il est parfois mieux de s’entourer et de solliciter des organisations spécialisées dans le domaine et qui pourraient aider l’entreprise à évoluer le plus adéquatement après analyse de ses besoins. 

                      Convidencia accompagne justement les entreprises dans leurs transitions tant au niveau culturel que structurelles et à gérer le changement. Comment procèdent-ont ? Nous créons de la valeur pour l’entreprise en proposant de nouvelles pratiques et des outils internes dans le but de renforcer les équipes et aider les managers à travailler ensemble. Ces outils sont mis en pratique à travers des workshops, des animations, du mentoring inversé, un smart team building ou executive coaching. 

                      Toujours à l’écoute du client et de ses besoins, Convidencia tente d’apporter des solutions simples et pragmatiques adaptées à la complexité du monde actuel. Nous avons déjà aidé plus 180 organisations dans leurs transformations, en leur proposant un service sur-mesure. 

                       Votre entreprise peine encore à adopter ce changement ? Que vous soyez une PME, une association ou une grande entreprise, Convidencia peut co-créer avec vous des solutions durables, un management efficace et une organisation évolutive adaptée à vos besoins. Le tout fait dans la bienveillance et agrémenté d’une bonne dose fun ! 

                      Contactez-nous !

                      Agile en entreprise : Retour sur les résultats chiffrés du rapport 2020  “State Of Agile”

                      Agile en entreprise : Retour sur les résultats chiffrés du rapport 2020 “State Of Agile”

                      Le 14e rapport « State Of Agile » sur l’application de l’agilité en entreprise est sorti en novembre 2020. Réalisé grâce aux retours d’expérience des milliers de professionnels issus des quatre coins du monde, ce rapport est une véritable mine d’or pour qui veut découvrir les dernières tendances et les changements notables. Voici ce que notre œil d’expert a particulièrement retenu !

                      Une des richesses de ce dossier, basé sur des données récoltées auprès d’organisations venant de tous les continents (41 % d’Amérique du Nord, 31 % d’Europe, 13 % d’Asie, 11 % d’Amérique du Sud, 2 % d’Afrique, 2 % d’Australie et de Nouvelle-Zélande), est de mettre en lumière les raisons d’utiliser et les bénéfices de l’agilité en entreprise, citées par les participants au sondage.

                       

                      Motivation et bénéfices de l’agilité en entreprise 

                       Les principales raisons concernent la capacité de ces méthodes à accélérer le processus de développement logiciel, à faciliter la gestion des changements de priorités, et à accroitre la productivité.

                       

                       

                      En termes de bénéfices, ce sont la capacité à gérer le changement de priorité, la visibilité sur l’exécution du projet, et la cohérence entre le business et l’IT qui se retrouvent dans le top 3.

                       

                       

                      Les méthodes agiles les plus populaires

                       Il ressort que la méthode Scrum et ses variantes restent les plus utilisées. Pas étonnant à nos yeux, d’autant plus dans le contexte actuel. En effet, avec la crise de 2020, les méthodes agiles comme Scrum ou SAFe connaissent un essor considérable. 58% des entreprises qui tentent l’agilité choisissent Scrum pour gérer des projets dans un environnement incertain, comme le développement d’un software ou un site web pour un client qui change souvent d’avis (*). Cela leur permet de créer de la valeur petit à petit en tenant compte des changements inattendus.

                      Bien que LeSS et d’autres méthode de « Agilité à grande échelle » offrent plus de flexibilité dans l’esprit des méthodes agiles, SAFe offre aux entreprises une structure et des processus rassurant de premier abord.

                       

                      Les domaines d’application de l’agilité

                        C’est principalement au sein des département IT que ces méthodes sont utilisées (plus de 50%), suivis par les départements opérations (12%), marketing (7%), HR (6%) et sales (5%).

                      Et la nouvelle version de Scrum ?

                      En novembre 2020, Scrum.org a publié la nouvelle version du guide officiel Scrum. Les différences ? Il est beaucoup plus destiné au domaine non-IT.

                      D’après notre observation, même si cette dernière version de Scrum s’adresse à d’autres domaines, son usage aujourd’hui est principalement répandu dans le domaine digital, contrairement à Kanban, Lean ou ParticipAgile qui sont plus accessibles pour les équipes business ou non-IT. 

                        Les freins à l’application des méthodes agiles

                        Bien que l’agilité rassemble de plus en plus d’enthousiastes, l’application de Agile Scrum est difficile à implémenter dans les organisations.

                         

                        Dans le top 3 des raisons citées comme défis/obstacles à l’adoption et à l’extension des pratiques Agiles, on retrouve la résistance au changement au sein de l’organisation, le manque de leadership, et l’incohérence des processus et des pratiques envisagées au sein des équipes.

                         

                        Pour nous, il est évident qu’adopter les méthodes agiles comme Scrum ne s’improvise pas et sera impossible sans un changement culturel au sein de l’organisation. Malheureusement, beaucoup d’entreprises belges manquent d’expertise pour appliquer Scrum de manière adéquate, pérenne et avec sérénité.

                         

                         

                        Pour souligner ces éléments du rapport, les erreurs principales que nous repérons fréquemment auprès des entreprises sont de :

                        Concentrer les efforts sur les processus et les outils, sans aborder les aspects humains ni le changement culturel.

                        En effet, Scrum demande des prérequis forts sur la culture de l’organisation comme un environnement sécurisant, l’esprit d’ouverture, une communication honnête, la responsabilité individuelle et collective. Or ces approches existent, mais pas dans le guide Scrum.

                        De nombreuses équipes développent les prérequis à l’agilité avec ParticipAgile. Les techniques comme le mode circulaire, la capacité à résoudre des problème complexes en équipe, la prise de décision par consentement, les rondes d’ouverture sont des exemples d’outils qui permettent de développer les prérequis pour adopter l’agilité de manière plus sereine.

                         

                        Aborder la transformation agile sans considérer la maturité actuelle de l’organisation. Les définitions de « Doing Agile » et « Being Agile » sont propres à chaque organisation.                                   

                        Nous savons que le stade de maturité d’une équipe est directement lié aux pratiques et à sa structure. La cohérence entre la structure, la culture, et les pratiques peut être étudiée facilement avec des outils comme les Valeurs Dynamique. L’évolution entre les stades est tout aussi importante pour déterminer les études d’un changement progressif, efficace et à impact pérenne. Notre article sur la Transformation Agile explique assez clairement ce point. 

                         

                        Effectuer une transformation agile de manière planifiée, prédictible et entièrement figée, et en commençant par un Big Bang.

                        Le choc violent généré provoque au contraire un trauma organisationnel et une allergie à Scrum. Notre expérience nous a montré que rien n’est plus incertain et complexe qu’une transformation agile. Dès lors, autant appliquer l’agilité … au changement lui-même. Ainsi, des petits pas et une participation progressive sont, entre autres, des clés pour une transformation réussie.

                         

                        Démarrer l’adoption seul ou uniquement basé sur les livres, conférences et vidéos en ligne.

                        Échanger des bonnes pratiques et des retours d’expérience avec d’autres entreprises, ou des experts en transformation agile peut aider à démarrer sereinement.

                        L’expérimentation est au cœur de l’agilité. Dès lors, pourquoi ne pas profiter de retours d’expériences existants, des outils et des astuces de ceux qui facilitent l’adoption depuis longtemps. Comprendre, donner du sens, et une perception de contrôle sont les clés d’un changement en toute sérénité. Au fond, c’est que ce prône la Salutogenèse appliquée en entreprise.

                         

                        Envie de découvrir où en est votre entreprise dans sa Transformation Agile ? Répondez à notre Quizz sur la Transformation Agile !

                         

                        Les cadeaux de fin d’année 100% Convidencia !

                        Les cadeaux de fin d’année 100% Convidencia !

                         

                         

                        Les fêtes de fin d’année se rapprochent à grand pas, et comme toujours c’est le moment d’explorer les nombreux cadeaux que l’on peut offrir à un ami, à un proche, ou à un collègue -voire à soi-même, évidemment. Malgré le contexte un peu morose que l’on traverse depuis le début 2020, ce n’est pas une raison pour autant d’arrêter de faire plaisir à ceux que l’on aime. Que du contraire ! Chez Convidencia, nous avons une série de services et de produits qui pourrait vous combler, vous ou une personne de votre entourage ! 

                        LES FORMATIONS DE CONVIDENCIA   

                        Depuis 2008, chez Convidencia, nous accompagnons les entreprises soucieuses d’un management efficace et d’une organisation évolutive. Nous œuvrons avec passion à préparer les organisations humaines de demain en révélant le potentiel des individus et en élevant la cohérence des entreprises.

                        Pour y parvenir, nous intervenons à plusieurs niveaux.

                        Nous réalisons des projets d’accompagnement au sein de petites, moyennes et grandes entreprises. En plus de ces activités en intra, nous organisons également des formations qui permettent de mélanger des personnes issues d’organisations différentes, ou s’inscrivant à titre personnel.

                        Ces formations sont idéales pour toute personne souhaitant, entre autres :

                        •  en apprendre davantage sur les méthodes de travail collaboratives et agiles
                        • disposer d’outils pour mieux appréhender le profil de valeur de leurs collaborateurs
                        • mettre en perspective la culture d’entreprise de leur organisation et sa maturité

                        Où retrouver notre catalogue de formation ?

                         

                        Consultez notre catalogue de formation en cliquant ici.

                          LE LIVRE PARTICIPAGILE

                          Découvrir la méthode ParticipAgile, en dévorant notre ouvrage ParticipAgile, c’est assez sympa comme cadeau aussi ! Ce livre, fruit de près de 5 années de réflexions et de travail intensif, est une vraie mine d’or pour toute personne souhaitant apprendre en près de 400 pages comment rendre une organisation plus agile et plus collaborative.

                            Comment se procurer le livre ParticipAgile ?

                             

                            Vous pouvez vous procurer le livre ParticipAgile en cliquant ici.

                            Prix : 49 € + frais de port (à partir de 6,56  selon le nombre de livres souhaité et le pays).

                             

                             

                            LE PARTICIPAGILE POKER

                            Si vous vous y connaissez en méthodes agiles ou que vous avez déjà participé à notre formation ParticipAgile Foundation, vous avez très certainement entendu parler du ParticipAgile Poker. Pour les plus novices, voici brièvement pourquoi il s’agit d’un excellent cadeau pour une personne passionnée ou curieuse de s’initier aux modes de gestion de projets agiles et participatifs !

                              Pourquoi utiliser le ParticipAgile Poker ?
                                  

                              A la base, le planning poker est une méthode agile, décrite pour la première fois par James Grenning en 2002, afin de produire, de manière ludique, des estimations sur la complexité de fonctionnalités à développer. Par la suite, il a été popularisé dans toutes les entreprises et dans les équipes où certaines décisions se font (ou devraient se faire) en équipe. 

                              Généralement utilisée par les managers de projet, cette méthode a deux avantages :

                              1. Elle permet au responsable et à l’équipe d’échanger sur la complexité des différentes tâches du projet.
                              2. Elle permet d’avoir une vue plus « juste » de cette complexité, tout simplement parce que celle-ci est validée par des participants avec des niveaux d’expérience et d’expertise différents.
                              Comment se procurer le ParticipAgile Poker ?

                              Vous pouvez en apprendre davantage sur le ParticipAgile Poker et vous le procurer en cliquant ici. 

                              Prix : 

                              1 paquet : 20 €

                              2 paquets : 30 €

                              3 paquets : 40 € 

                               

                              Nous espérons que vous trouverez votre bonheur ! Belles fêtes de fin d’année !

                               

                               

                                Prenez contact avec nous !

                                 

                                Qu’est-ce qu’un Hackathon ?

                                Qu’est-ce qu’un Hackathon ?

                                Aujourd’hui, nous rencontrons beaucoup d’usages et de compréhensions différentes du terme « Hackathon ».  En tant que leader belge dans ce domaine, avec plus de 100 hackathons à notre actif, nous vous proposons une explication intégrée, simplifiée et la plus complète possible.

                                 

                                Le terme « Hackathon » désigne un évènement collectif, limité dans le temps (entre 1 et 3 jours en moyenne) et particulièrement intensif permettant à un ensemble de personnes de créer de la valeur ensemble.

                                Dans un processus d’innovation, certains les appellent « Bootcamp d’innovation » ou « Design Sprint » .

                                Michel Duchateau

                                 

                                Les 3 types de hackathons

                                Les hackathons d’innovation

                                 

                                Ils regroupent les moments d’idéation (recherche pure de nouvelles idées) jusqu’au moment de prototypage (validation des idées d’un point de vue technique et marché). Souvent, les participants ont l’occasion de présenter leur travail à la fin de l’évènement. C’est le cas des « Startup Weekend », « Hackathons techniques », « Bootcamp d’innovation » ou « Design Sprint » .

                                Les hackathons opérationnels

                                                                  

                                Ils permettent de concentrer les énergies d’une équipe dans le but d’avancer rapidement sur des activités de production pure. Par exemple : l’écriture d’un livre, la mise à jour d’un site web, le rattrapage d’activité en retard, la préparation d’une nouvelle formation, le recrutement de collaborateurs, le développement commercial, etc.

                                Les hackathons organisationnels

                                 

                                Ils permettent de travailler sur l’amélioration de l’organisation via la collaboration des équipes sur des problématiques organisationnelles. Par exemple : faire travailler ensemble une équipe Front Office et Back Office sur l’analyse des dysfonctionnements transversaux, la formulation de propositions concrètes afin de livrer une plus grande valeur au client final.

                                 

                                En bref, en quelques jours seulement le hackathon permet :

                                • Transformer vos idées en projets amorcés
                                • Concevoir, prototyper et valider en équipe
                                • Découvrir l’agilité, l’intrepreneuriat, la créativité et l’innovation collaborative !

                                Des hackathons organisés autour de thématiques variées 

                                Les hackatons peuvent s’articuler autour :

                                 

                                • d’un sujet ou d’un domaine d’activité: Circular Economy, Fan experience, Big Data, Makers, Refugees, Smart City, Virtual Reality, Emergencies, Retail, Food, Transport, Space, Health, Media, Culture, Education, Insurance 

                                 

                                • d’un challenge ou d’une question spécifique posée sous forme de défi : Quelles sont les nouvelles façons d’interagir avec les clients ? Comment simplifier la gestion des langues au sein des urgences ?

                                 

                                • d’un thème ou d’un sujet ouvert au choix, apportés par les participants en fonction de ce qu’ils veulent explorer et concrétiser.

                                L’organisation d’un hackathon avec Convidencia

                                 Préparation
                                • Définir avec vous les objectifs clés de l’événement
                                • Concevoir le projet avec nos outils comme le hackathon canvas
                                • Accompagner la préparation et la communication événementielle
                                • Accompagner la mise en œuvre, l’équipe de coordination et l’animation
                                  Animation
                                • Mettre le public en condition avec un accueil énergisant
                                • Veiller à la motivation et aux compétences des participants
                                • Suivre le déroulement des projets en phase avec les objectifs définis
                                • Conseiller sur l’environnement de travail idéal
                                Accompagnement
                                • Former sur les outils et les bonnes pratiques
                                • Engager des équipes dans un processus d’intelligence collective
                                • Anticiper et détecter les problèmes d’équipe 
                                Communication
                                • Animer des workshops optionnels
                                • Faciliter la communication entre les organisateurs, les participants et les coachs durant toute la durée de l’événement
                                • Briefer les membres du jury et les coachs sur leur rôle
                                • Conseiller sur la communication post-événement pour les sponsors, partenaires, clients et parties prenantes.

                                Nos spécificités  

                                • Une expertise de leader en hackathon
                                • Des études, articles et guides sur l’organisation
                                • Des outils faciles, templates prêts, et contacts triés sur le volet
                                • Des conférences et workshops
                                • Un suivi personnalisé des projets après le hackathon
                                • Un accès à notre réseau des acteurs de l’écosystème des hackathons
                                • Les retours d’expérience de 5000 hackathons de nos communautés

                                 

                                 

                                  J’organise un Hackathon pour mon organisation

                                   

                                  Pourquoi organiser un webinar ?

                                  Pourquoi organiser un webinar ?

                                  Véritable Graal du marketing digital ou simple format de communication et d’échange qui réunit des gens vivant aux quatre coins du globe, le webinar connaît un véritable boom ces dernières années. Actuellement, cette formule 100% digitale résonne comme une solution pour survivre à la crise sanitaire du covid-19 que nous connaissons. On vous explique tout ça, en se basant sur notre propre expérience. 

                                  Les webinars ont littéralement explosé sur la toile ces dernières semaines, et chacun y va de sa petite touche afin d’apporter du contenu à son audience. Dans le contexte de crise sanitaire actuelle, les entreprises sont à la recherche des solutions pour maintenir leur activité économique, et pour ne pas avoir à mettre clef sous porte. Parmi les solutions qui s’ouvrent à elles : le webinar. Mais qu’est-ce que c’est exactement ? Quels sont les avantages de ce format ?

                                  Le webinar : qu’est-ce que c’est exactement ?

                                  Contraction entre web et séminaire, le webinar offre une possibilité de partager, approfondir ou découvrir de nouvelles connaissances en une conférence digitale sur mesure et sans quitter votre domicile. Si les prémices des webinars abordaient surtout les nouvelles technologies et les métiers émergent du digital, on compte aujourd’hui des webinars sur des thèmes très variés touchant d’innombrables secteurs.

                                  De nombreuses plateformes ont donc développé des services permettant de créer ses propres webinars. Livestorm, GoToWebinar, Zoom, et bien d’autres, propose des solutions complètes et efficaces avec de nombreuses fonctionnalités comme l’inscription, les sondages, le partage de document, les chats, les questions et réponses, etc.

                                  Chez Convidencia, on a aussi ajouté notre patte et nous avons développé les webinars du jeudi. Fort de cette expérience, nous vous présentons les 4 avantages majeurs que nous avons retirés de cette formule. 

                                  Les 4 avantages du webinar pour une entreprise 

                                  1. Le webinar permet de maintenir le lien avec sa communauté et ses clients

                                  Lors de cette crise, les webinars sont une réponse aux mesures de confinement et de distanciation sociale imposées. Ainsi, ils permettent de rester en contact avec les clients, de se tenir informé de leurs réalités, et ainsi, de potentiellement trouver des solutions communes. 

                                  2. Le webinar permet de partager avec un plus grand nombre de personnes 

                                  Le webinar peut rassembler des centaines de personnes. Le lieu et la taille de l’espace dont nous disposons ne sont donc plus des obstacles au bon déroulement de la formation. Cette formule permet de cibler une audience plus large et d’espérer un taux de participation élevé. Un moyen en or pour accroître votre visibilité par la même occasion !

                                  3. Le format webinar permet de donner sa vision sur un sujet précis et de véritablement échanger !

                                  Le coté interactif, que présente le format webinar, permet d’aller plus loin qu’une conférence en ligne.  Il permet un véritable échange entre le(s) orateur(s) et les participants. Fini la communication à sens unique et la non-réciprocité dans les échanges, le webinaire offre la possibilité d’interagir avec son public cible. Il s’agit véritablement d’un séminaire collaboratif où les participants sont invités à poser leurs questions par le biais d’un chat en ligne. C’est comme ça que les meilleurs projets émergent !

                                  4. Le webinar limite les contraintes liées à la présence physique 

                                  Un avantage indéniable en ce temps incertain qu’offre la formule webinar : le replay. Vous pouvez donc enregistrer votre webinar et permettre à des futurs participants de le regarder quand ils seront disponibles. Cela réduit fortement les contraintes liées au présentiel. Avoir la flexibilité et l’opportunité de s’informer sur un sujet où on veut et quand on veut, c’est un certain luxe !

                                  En bref, le webinar est devenu un outil incontournable pour les entreprises à l’heure actuelle. Ce format permet une nouvelle approche rapide et astucieuse pour aborder un public bien ciblé. 

                                  Le boom des hackathons en ligne !

                                  Le boom des hackathons en ligne !

                                  Bootcamp d’innovation, Design Sprints, hackathons opérationnels et/ou organisationnels… Différents types de hackathons existent, organisés en fonction des objectifs et livrables visés, et leur succès n’est plus à démontrer ! Avec les mesures de confinement, certains misent sur les outils digitaux pour continuer à exploiter les pouvoirs des hackathons en matière de co-création et d’innovation. Les hackathons en ligne (online hackathons), qui existent déjà depuis un moment, se répandent comme une traînée de poudre dans le contexte de crise sanitaire actuel. Qu’est ce qui en ressort ? À quels types de projets aboutissent-ils ?

                                  De Mexico à Bangkok, grâce au digital, nombreuses sont les personnes qui se mobilisent malgré le contexte actuel de confinement généralisé, pour continuer à produire, à créer, et à faire émerger des projets. Une caractéristique commune à toutes ces mouvements ? La volonté de contribuer au développement de solutions pour assurer une bonne gestion de la situation covid-19 et post covid-19. Les thématiques traitées sont larges. De la santé, à l’éducation, en passant par la mobilité ou l’organisation du travail, une série de solutions inédites voit le jour et mérite d’être mise en avant.

                                  Des plateforme solidaires

                                  En Belgique, le mouvement Betech est un des premiers à avoir saisi la balle au bond. Dès l’annonce des mesures de confinement, un hackathon de 48 heures a été organisé afin de développer la plateforme de solidarité www.covid-solidarity.org. Le but de cette plateforme ? Mettre en relation des personnes isolées et des personnes bénévoles, résidant dans le même quartier, pour rendre possible un échange de services – effectuer les courses de première nécessité et en assurer la livraison, par exemple.

                                  Dans le même état d’esprit, Hack the crisis a eu lieu en Belgique du 27 au 29 mars 2020. Inspiré des éditions organisées dans d’autres pays d’Europe, ce hackathon a réuni pendant un week-end intense, des acteurs du milieu des startups et des technologies belges, et bien d’autres personnes souhaitant trouver des solutions pour faire face à la crise. Le projet lauréat a abouti à la mise en place de la plateforme « Corona Home Test Kit ». L’objectif de cette plateforme ? Aider la population à acheter des kits de test à effectuer à domicile, mais aussi encourager le partage des résultats des tests (de façon anonyme) pour suivre l’évolution de l’épidémie.

                                  D’autres solutions ont également vu le jour lors de ce weekend exceptionnel : une plateforme pour trouver des enseignants adaptés ; un boîtier permettant  aux personnes âgées de lancer, en appuyant sur un seul bouton, une conversation vidéo avec leur famille ou leurs amis sur leur télévision ; ou encore, une plateforme pour les artistes afin d’organiser des flux en direct pour leurs fans…

                                  L’initiative Stay the F**** at home lancée par le Microsoft Innovation Center (MIC) début avril mérite également d’être saluée. Les étudiants ont pu se mobiliser afin de trouver des solutions pour gérer la crise actuelle de façon immédiate. Comment révolutionner le monde du télétravail ? Comment aider les personnes qui sont actuellement sur le terrain (corps médical, transports en commun, secteur alimentaire, police, poste…) ? Comment aider les gens à faire leurs courses de manière plus intelligente ?

                                  Des projets innovants pour la reprise post covid-19

                                  Si les initiatives que l’on vient de présenter ont eu pour principal but d’aider à consolider la solidarité durant cette période de confinement, dans une logique de gestion de l’urgence, certains hackathons ont également pour but de préparer l’avenir.

                                  C’est le cas du Hackcovid, organisé du 13 au 17 avril 2020. Cette initiative 100 % belge, lancée en à peine deux semaines par le consortium MATTERS, réunit 45 organisations des secteurs public et privé, mais aussi des mouvements citoyens et des communautés d’entrepreneurs. Ce hackathon vise à accélérer le processus de co-création et à embrayer une réflexion globale sur la situation post covid-19. De l’éducation à la santé, en passant par la mobilité et l’évolution du monde du travail, la centaine de bénévoles qui participe à cet évènement se mobilise pour penser le futur de la société belge de façon globale ! Les projets primés à la fin du hackathon pourront bénéficier d’un programme d’accélération et du soutien des membres de MATTERS, ce qui permettra de les aider à se concrétiser et à se pérenniser.

                                  Au niveau international, les entrepreneurs de Techstars Startup Weekend ont décidé de réunir les communautés locales de pas moins de 65 pays, qui organisent leur propre événement durant le mois d’avril. Un appel a été lancé à tous les développeurs, concepteurs ou toute personne ayant des idées pour relever des défis face à la pandémie mondiale. Chaque Startup Weekend, d’une durée de 3 jours pour chaque pays, permet de se concentrer sur le développement de solution liée au Covid-19. Par la suite, les 20 meilleurs équipes du monde entier participeront à un grand Techstars Innovation Bootcamp afin de valider les solutions trouvées et de créer les entreprises nécessaires. Le hackathon devient ainsi international et ne connaît plus aucune frontière, on adore !

                                  Toutes ces initiatives passionnantes voient le jour grâce à la motivation hors du commun des participants et des organisateurs, et elles permettent de renforcer la solidarité en cette période compliquée. De belles solutions ont déjà pu voir le jour, et nous n’avons aucun doute sur la qualité des projets qui suivront. Une chose est sûre, le développement de ces hackathons en ligne aura un impact sur le futur des hackathons et leur mode d’organisation… Affaire à suivre !

                                  Consolider votre cohésion d’équipe avec la célébration box !

                                  Consolider votre cohésion d’équipe avec la célébration box !

                                  En cette période délicate de confinement que nous connaissons tous actuellement, il est essentiel pour les équipes de maintenir une cohésion d’équipe forte et un lien solide, même si celui-ci doit se dérouler à distance. Ces petits rituels de célébration permettent de maintenir un équilibre au sein des équipes et une collaboration effective. Que ce soit pour fêter la fin de la réalisation d’un projet, d’une réunion ou tout autre occasion, nous avons l’outil idéal pour vous : la célébration box.

                                  Il s’agit d’un véritable outil d’intelligence collectif permettant de fédérer les équipes à distance

                                  Le but de ce rituel est de vous offrir un moment de pause et de partage entre collègues. Ce sera également l’occasion d’instaurer une ambiance plus légère et plus fun au sein de votre équipe en donnant la parole à vos collègues.

                                  Le procédé est simple : après un moment de réflexion, faites le tour de vos collaborateurs pour réunir toutes les idées de rituel. Établissez ensuite un tour de vote afin d’élire les meilleures célébrations possibles.

                                   

                                  Plusieurs applications existent afin de récolter les idées et de voter. Par exemple, nous avons utilisé Wooclap. Cette jeune startup belge vous permet de créer des QCM ou des sondages de façon très rapide et simple ! A vous de jouer ! 

                                  On vous donne quelques exemples de célébrations mise en place depuis le début de la crise sanitaire chez Convidencia : 

                                  • Des idées folles

                                  N’hésitez pas à faire marcher votre imagination. Toutes les idées sont les bienvenues. Il s’agit d’un véritable moment de lâcher prise. Voici quelques idées innovantes, parfois même très excentriques !

                                  • Des idées créatives

                                  Les propositions peuvent faire appel à votre sens créatif. Le but est de changer d’air tout en restant réaliste avec des idées faisables. Faites parler votre talent manuel ! 

                                  • Tout est bon !

                                  Si toutes ces propositions ont déjà été utilisées, laissez parler votre esprit et ne vous interdisez rien ! Voici quelques exemples ! 

                                  L’essentiel est de fêter le moment, de le vivre et de le partager en étant le plus présent et le plus authentique possible. Cela favorise la transparence, le travail d’équipe et le bien-être. Bien évidemment, tous ces rituels ne sont pas adaptés à toutes les cultures d’entreprise ! À vous de trouver la bonne idée adaptée à votre environnement de travail. N’hésitez surtout pas à varier les rituels selon vos envies du moment. Enrichissez votre liste au maximum et AMUSEZ-VOUS !

                                  Test : où en êtes-vous dans votre transformation Agile?

                                  Test : où en êtes-vous dans votre transformation Agile?

                                  Le terme « transformation Agile » regroupe aujourd’hui de nombreuses applications différentes.

                                  Chez Convidencia, nous le définissons comme ceci :

                                  La transformation Agile, c’est le processus qui fait évoluer en profondeur et de manière durable la culture, la structure et les pratiques d’une organisation pour qu’elle soit en mesure de s’adapter plus rapidement et avec moins de friction à la complexité et l’incertitude de son écosystème et de ses propres dynamiques internes.

                                  Envie de savoir où vous en êtes dans votre entreprise ?

                                  Découvrez-le en participant à notre questionnaire ci-dessous :

                                  Au sein de votre organisation, vous trouvez que…

                                  Plutôt oui 

                                  1. L’approche du changement cherche à se baser, comme toute bonne méthode de gestion du changement, sur la mise en place d’une “burning plateforme”.

                                  2. Le/les commanditaires du changement sont peu moteurs ou ne disposent pas beaucoup d’autonomie ou de moyens.

                                  3. L’approche pour la mise en œuvre de la transformation est plutôt radicale (tout, d’un coup, et pour tout le monde).

                                  4. La manière de diffuser les changements ne prend pas suffisamment en compte les différences de maturité des équipes et les prérequis nécessaires.

                                  5. Dans le cas d’une approche « top-down », c’est-à-dire où l’on commence par le sommet de l’entreprise, on prend beaucoup de temps pour d’abord bien former la direction et le management avant de descendre au niveau des équipes.

                                  6. Dans le cas d’une approche par essaimage, c’est-à-dire au sein des équipes, on mise toute l’énergie sur une seule équipe ou un seul projet sans chercher à contaminer d’autres parties prenantes ou d’autres initiatives dans l’organisation.

                                  7. Il n’y a pas spécifiquement de méthodologie pour accompagner les collaborateurs dans cette transition. Il faut avant tout compter sur leur bonne volonté.

                                  8. Tout repose essentiellement sur une méthodologie que l’on suit aveuglément dans l’espoir que cela génère des résultats comme dans les livres.

                                  9. Il y a des formations mais pas assez de support à la mise en œuvre via un accompagnement externe ou la mise en place de fonction de support interne pour soutenir les collaborateurs.

                                  10. Il n’y a pas de focus suffisant pour avancer sur des résultats concrets, rapides et visibles avec et pour les équipes.

                                  11. Les relais internes sont rares, inaccessibles ou peu utilisés.

                                  12. La communication interne est trop peu utilisée pour soutenir la transformation.

                                  13. La progression dans la transformation et les accomplissements ne sont ni mesurés ni communiqués ni célébrés.

                                  14. L’organisation ou les commanditaires estiment qu’ils n’ont pas besoin de se faire accompagner par des experts.

                                  15. Les commanditaires ou les participants sont très excités et veulent avancer très vite. Ils surestiment probablement leur capacité à l’adoption de changement profond, ou sous-estiment l’impact de ces derniers ainsi que les moyens nécessaires (temps, énergie, etc…).

                                  16. Le management ou les services de support ne sont pas cohérents par rapport aux nouveaux paradigmes ou par rapport aux besoins des équipes dans le cadre de leur développement.

                                  17. Les commanditaires ou les agents du changement veulent une vision claire de la destination de la transformation dès le départ.

                                  18. La culture du contrôle sclérose le développement d’initiative.

                                  19. La culture de perfection et du “non-droit à l’erreur” empêche l’émergence de celle de l’amélioration continue.

                                  20. La dynamique de changement ne travaille que sur 1 ou 2 des 3 axes suivants (culture, structure, pratique).

                                  TOTAL

                                   

                                  Le nombre de cases cochées dans la colonne « plutôt oui » correspond au nombre de pièges dans lesquels votre organisation est tombée.

                                  • Si vous en avez plus de 10, vous n’êtes pas dans une situation des plus idéales. Tout est encore possible, mais il va falloir sérieusement prioriser les pièges dont il va falloir sortir en priorité.
                                  • Si vous en avez plus de 15, un changement radical d’approche est certainement à recommander.
                                  • Si vous en avez entre 5 et 10, vous êtes clairement sur la bonne voie par rapport à l’ensemble des transformations Agile que nous croisons.
                                  • Moins de 5 ? Venez partagez votre manière d’appréhender la transformation Agile dans un de nos meetups sur le sujet ! 😁

                                   

                                  Et si vous voulez encore plus élargir votre compréhension de la transformation Agile vu par Convidencia, venez à nos évènements, ou contactez-nous !

                                   

                                   

                                   

                                   

                                  Qu’est-ce que la transformation Agile ?

                                  Qu’est-ce que la transformation Agile ?

                                  Aujourd’hui, nous rencontrons beaucoup d’usage et de compréhension différentes du terme « Transformation Agile ». Tant au sein des organisations qui se sentent concernées qu’au niveau des sociétés de conseil ou des consultants indépendants « spécialisés » dans le domaine de l’Agilité.

                                  Chez Convidencia, nous sommes plutôt à l’aise avec la complexité des organisations, des situations et des modèles. Et selon nous, il est important de clarifier les zones de confusion que certains peuvent ressentir.  

                                  Nous proposons dès lors une lecture simplifiée de ce concept pour éviter tout malentendu. En effet, dans le terme “Transformation Agile”, chaque mot peut être interprété différemment et amener ses utilisateurs à des considérations bien éloignées les unes des autres.

                                  Tout d’abord, le terme transformation ne doit pas être confondu avec la définition d’adoption. Transformer implique un changement profond de la nature d’un système vers une autre. Au contraire, une adoption implique le fait de faire quelque chose différemment ou de nouveau sans entraîner nécessairement un changement profond dans la nature du système concerné.

                                  Ainsi appliquer des outils Agile n’implique pas une transformation mais bien simplement une adoption de nouvelles manières de faire.

                                  De plus, le terme Agile, peut aussi donner lieu à des interprétations différentes. Les 4 principales étant :

                                  • Agile comme dans la méthode Agile Scrum
                                  • Agile comme le synonyme de flexible
                                  • Agile comme dans le fait de développer la transversalité et casser les silos au sein de l’organisation
                                  • Agile comme dans le fait de faire émerger l’intelligence collective à travers plus de participation dans l’entreprise


                                  Pour vous aider à vous y retrouver, nous avons identifié 10 situations très différentes dans lesquelles les commanditaires d’un changement (nos clients) utilisent le terme de “ Transformation Agile » :

                                  Les 10 “transformations Agile” du moment

                                   

                                  Application directe des méthodes Agile (plus ou moins profondes et détaillées)

                                  1

                                  Je veux mettre en oeuvre la méthode Agile Scrum au sein de mes équipes IT

                                  Par exemple, les équipes projets s’organisent en utilisant le “framework” agile scrum.

                                  2

                                  Je veux développer la méthode Agile (Scrum light) auprès des autres équipes non IT. 

                                  Par exemple, le activités métier et support se forment à Agile pour mieux fonctionner avec les équipes IT.

                                  3

                                  Je veux appliquer la méthode Agile sur des programmes stratégiques composés d’un ensemble de projets ou d’équipes différentes qui travaillent de manière Agile (Scrum of Scrum/LeSS/Safe, modèle Spotify).

                                  Par exemple, notre programme de transformation digitale, composé de nombreux projets stratégiques (CRM, Intelligence Artificielle,etc…) est organisé et piloté selon les principes du “framework” Agile.

                                  Application indirecte des méthodes Agile (inspiration des principes très généraux)

                                  4

                                  Je veux développer une culture Agile dans l’ensemble de l’organisation.

                                  Par exemple, distiller les 12 principes Agile dans les mentalités des collaborateurs: http://agilemanifesto.org/iso/fr/principles.html

                                  5

                                  Je veux développer la stratégie d’entreprise (à 5 ans) de manière Agile.

                                  Par exemple, définir une stratégie ambitieuse d’entreprise sur base de désidératas à réaliser par itération de 4 mois pendant 5 ans et mettre en place une gouvernance de pilotage adaptée.

                                  Sans rapport avec les méthodes Agile

                                  6

                                  Je veux développer des activités transversales pour mieux répondre à des besoins en cassant les silos. 

                                  Par exemple, la mise en place d’une culture projet transversale comme dans une adhocratie.

                                  7

                                  Je veux développer une organisation à la gouvernance participative et/ou diriger mon organisation vers une forme de libération d’entreprise.

                                  Par exemple, développer l’autonomie et la coopération au sein des équipes en remodelant l’organisation vers de formes plus “modernes” de fonctionnement, comme une holarchie.

                                  8

                                  Je veux développer une culture d’intelligence collective et des pratiques plus participatives au sein de l’organisation. Cela n’a rien à voir avec les méthodes Agile, mais les notions de participation et d’agilité sont souvent très confondues

                                  Par exemple, le développement de la cocréation, de la démocratie des idées ou encore de la participation d’un plus grand nombre aux décisions stratégiques.

                                  9

                                  Je veux faire de l’innovation collaborative avec les collaborateurs et/ou des partenaires de mon écosystème.

                                  Par exemple, développer un programme d’accompagnement des collaborateurs, comme un incubateur interne, pour créer des projets innovants basés sur le Design Thinking ou Lean Startup.

                                  10

                                  Je veux faire de l’innovation comme les startups pour être aussi agiles qu’elles sur le marché.

                                  Par exemple, développer un trajet d’accompagnement incluant un hackathon, sprint ou bootcamp avec des clients, startups et collaborateurs pour prototyper des solutions agiles à des problématiques concrètes.

                                  Vous vous retrouvez dans une de ces situations? Cela vous parle? 

                                  Vous aimeriez à votre tour instaurer une transformation Agile dans votre entreprise mais vous ne savez pas par où commencer? 

                                  Contactez-nous !

                                  Etes vous conscient des pièges habituels dans lesquels les organisations en transformation tombent facilement ? 

                                  Faites notre test !

                                  Convidencia développe sa propre application: Holarchic Designer!

                                  Convidencia développe sa propre application: Holarchic Designer!

                                  Aujourd’hui beaucoup d’entreprises se demandent comment organiser leur travail et les responsabilités de chacun. Des besoins apparaissent également au niveau de l’autonomie des collaborateurs, ce qui entraîne une pression moins importante de la part de la hiérarchie. Pour répondre à ces nouveaux besoins, les structures doivent être réorganisées de façon moins hiérarchique tout en gardant cette structure solide.

                                   

                                  L’holarchie, c’est quoi ? 

                                  C’est dans cette logique que Convidencia a souhaité développer son application répondant à ces nouveaux critères d’organisation. Comme son nom l’indique, Holarchic Designer se base sur l’holarchie. Holarchie provient du terme Holon qui définit une cellule, une unité autonome. Chaque cellule sait ce qu’elle est censée faire. Et elle est indépendante mais plus le nombre de cellules augmentent,  plus elles devront apprendre à fonctionner ensemble.

                                  Il est très simple de représenter de manière flexible et structurée des éléments qui fonctionnent ensemble et cela sous forme de cercles.

                                   

                                  Différents niveaux apparaissent alors :

                                  • Organisation
                                  • Cercle
                                  • Rôle

                                  Chacun de ces niveaux a une raison d’être et un périmètre de responsabilité. Ainsi, un rôle peut être assigné à plusieurs personnes et les personnes responsables de chaque cercle ont toute l’autonomie de décider des actions à mener pour le bien de l’organisation.

                                  De ce fait, toute la structure est auto-organisée ce qui entraîne une meilleure collaboration.

                                   

                                  Convidencia a mis en place ce type d’organisation dans sa propre structure où chaque rôle a été attribué à chacun et chaque membre a pu participer à l’élaboration de ce mode de fonctionnement.

                                  Mais comment mettre en place ce système dans une organisation hiérarchisée?

                                  Il faut avant tout bien définir les zones de responsabilités de chacun et analyser les rôles dans lesquels intervient une personne. Ensuite, il faut pouvoir attribuer chaque rôle aux différents cercles. Dans le cas de Convidencia, il a fallu structurer l’organisation.

                                  Il est important également d’attribuer aux rôles toutes les zones de responsabilités nécessaires en rapport avec sa raison d’être. Cela peut passer par l’élaboration de fiches canevas pour chaque cercles (marketing, capacities, Business development…) où chaque rôle est décrit. Il est donc simple de voir quel est le rôle et toutes les informations concernant ce rôle.

                                  Pour finir, il est tout à fait légitime de se demander quels sont les bénéfices d’organiser une structure de façon holarchique.

                                   

                                  Les points forts sont donc:

                                  • La communication
                                  • Eliminer la notion de flou entre les membres de l’équipe
                                  • L’autonomie dans chacune des zones de responsabilités
                                  • La valorisation de chaque membres
                                  • La collaboration entre les membres de l’équipe

                                  Convidencia souhaite donc proposer son application à ses clients, répondant ainsi aux besoins des entreprises d’aller vers une structure où les équipes sont plus autonomes et où la coopération est de mise.

                                   

                                  Article écrit par Romain Brissos – stagiaire chez Convidencia de janvier à mars 2019

                                  Nos clients, nos meilleures références

                                  Nos clients, nos meilleures références

                                  Découvrez les réactions de nos clients, les témoignages du terrain, les coulisses de l’accompagnement et les moments forts de notre relation.

                                  Qui pourraient mieux témoigner sur notre accompagnement que nos propres clients? En effet, chaque client est pour nous, un partenaire avec qui nous collaborons et avec qui nous co-créons des solutions-sur-mesure. Ce sont des personnes dont nous nous occupons de façon unique et à qui nous proposons des outils efficaces et rapides à mettre en place. 

                                  Le tout, à notre façon, c’est-à-dire avec une bonne dose de fun. 

                                  Nous leur avons demandé de témoigner, en toute transparence, sur notre relation et nos projets. 

                                  1. Des solutions sur-mesure

                                  Convidencia, c’est tout d’abord une volonté de s’occuper de son client de façon unique, en ne lui proposant pas de solution toute faite, mais en l’écoutant, et en s’intéressant réellement à ce qu’il vit pour lui proposer des solutions adaptées à ses réels problèmes.

                                  Nathalie Dumont, CEO de Karott, nous explique comment tout a commencé : “(…) si je me replonge 4 ans en arrière, après 6 ans d’existence, je sentais qu’il y avait quelque chose de nouveau à mettre en place mais je ne savais pas très bien comment m’y prendre. De commun accord avec mes 2 associés, nous avons décidé de rencontrer des personnes spécialisées dans la transformation des entreprises, puisque nous n’y connaissions pas grand chose. Ce qui nous a amené à rencontrer plusieurs sociétés. Et à vrai dire, la seule qui a réellement écouté ce que nous avions à dire et qui a compris en profondeur notre besoin, c’est Convidencia. “

                                   

                                  Philippe Massart, le Directeur Communication de Sibelga confirme ce même sentiment : “j’ai toujours un peu peur que les consultants extérieurs viennent appliquer un modèle type. (…) dans la discussion avec Convidencia, j’ai tout de suite compris qu’il n’y avait pas cette approche ‘gourou’ de certains coachs. J’ai trouvé  une grande faculté d’écoute. Convidencia a d’abord longtemps écouté et c’est sur cette base que Convidencia nous a dit : “on va réunir tout le monde et voilà comment on va travailler ensemble. Ca va être un travail interactif, moi je vais surtout être là pour encadrer, pour vous donner le tempo, pour permettre de bien utiliser les outils. (…).

                                  D’après Philippe Massart, avec Convidencia, on sent une volonté d’emmener tout le monde avec, on adapte si besoin, et c’est vraiment du sur-mesure. C’est la différence avec le prêt-à-porter. Ils appliquent quand même des méthodes mais il y a une réflexion, des outils et on les adapte au client. On tient compte de ce que le client vit et comment chaque individu le vit.”

                                  Pour Alex Parisel, Directeur général  de PartenaMut “ce qui nous a plu, c’est que les concepts qu’on connaissait ont été vulgarisés par Convidencia et surtout pensés de manière concrète et structurante. Ce n’est pas de la philosophie, ce n’est pas du discours, c’est concret et adapté à nos besoins. Il y a une co-construction de la mécanique qui permet effectivement de ne pas nous imposer des modes ou concepts que les grandes boites suivent.”

                                  Patrick Parmentier, CEO de VO Group nous l’explique également : “En discutant avec Convidencia, nous avons réalisé très rapidement que nous pouvions concevoir de l’agilité à la fois dans notre manière de travailler au quotidien, dans notre réflexion créative et aussi dans notre manière de manager.

                                   

                                  2. Des outils utiles et efficaces

                                  Convidencia, c’est aussi une volonté de rendre son client autonome, en lui apprenant des outils qu’il pourra réutiliser facilement par la suite. Et quelle que soit l’entreprise – privée, public, PME ou grosse structure –  les feedbacks restent unanimes.

                                  Chez Karott, Nathalie Dumont, CEO, nous en parle : “Je suis très contente de ce que nous avons mis en place tous ensemble. (…) Nous disposons maintenant d’une panoplie d’outils : nous utilisons un Kanban pour planifier notre travail, nous recourrons aux micro-feedbacks et nous nous sommes appropriés le mode circulaire en réunion. Convidencia a très vite compris la philosophie de Karott et notre collaboration a de suite été très fructueuse. Si bien qu’au bout de 5 ans, nous sommes toujours aussi enthousiastes et poursuivons ensemble notre collaboration.”

                                  Pour Pascaline Vertessen, Director Talent & Business Partner à la STIB, suite à la formation ParticipAgile qu’elle a suivie, elle nous explique ceci : « Le “Moi à ta place” est ce qui nous a le plus servi. Certains HR business partners ont d’ailleurs utilisé ces outils d’intelligence collective avec leurs propres clients. Leur feedback est très positif et les porteurs de projets sont super enthousiastes des idées récoltées grâce à cet outil. »

                                  Selon Didier Lefebvre, Directeur général d’OCE, “Le feedback des formations ParticipAgile, c’est que les gens étaient vraiment ravis. Ils ont pointé des choses bien précises : le mode circulaire, le “Moi à ta place”, les 3 lieux. C’était quelque chose de révélateurs pour eux. Ces nouveaux outils formaient une logique. Ce qui ressortait en plus, c’était une intégration de ces outils dans un ensemble cohérent(…). C’était bénéfique, quelque chose de précieux, un second souffle apprécié. »

                                   

                                  Patrick Parmentier, CEO VO Group, nous raconte tout ceci : “J’aime bien le “Moi à ta place”, je trouve ça un très chouette outil. L’élection sans candidat aussi même si c’est plus compliqué à mettre en place. L’évidence du mode circulaire, c’est clair qu’on l’emploie beaucoup et il n’est pas si facile à respecter. Puis la météo, la ronde d’ouverture, qui est très porteur dans la manière de faire. Et les kanbans! Bref, c’est déjà pas mal ! »

                                   

                                  Philippe Massart, de Sibelga, rajoute ceci : “Ce qui est très intéressant chez Convidencia, c’est qu’ils montrent une technique, ils l’expliquent, ils montrent comment c’est appliqué chez quelqu’un d’autre, ils expliquent comment ça se passe. Mais après, on se l’est appropriée nous-mêmes. On a pris la technique des cercles, on a travaillé seuls sans Convidencia pour définir nos cercles et puis on les a rappelés. Convidencia est alors revenu. On leur a présenté et ils ont donné leurs feedbacks. (…). Convidencia c’est une société qui se met à l’écoute de son client, qui n’impose pas, met en place et adapte ses outils avec une grande flexibilité et une écoute du client. C’est une société capable de changer éventuellement les consultants  si quelque chose passe moins bien. (…). Il y a une espèce de confiance dans une personne qui ne nous impose rien, mais nous aide à arriver à prendre des décisions. On a le sentiment de faire nous-même le pas, de nous prendre en main. Et on a quelqu’un qui nous guide, nous donne les cadrages qu’il faut, qui met à disposition les outils qui nous aident à prendre des décisions et à avancer. Cette faculté d’aider les gens à s’approprier leur propre changement, les outils et à avancer. Je trouve ça riche et fort. Et de ma carrière Convidencia est une pointure.

                                  Alex Parisel nous le confirme également : “La fameuse matrice de coopération, c’est typiquement le genre d’outils qui est très simple et ne nécessite pas de multiples formations. Il suffit de l’avoir utilisé une seule fois de manière encadrée pour quand même connaître les points d’attention et l’utiliser à bon escient. Et pour le reste, c’est un outil très puissant. Et ça c’est Convidencia qui nous l’a amené! »

                                   

                                  3. Une bonne dose de fun

                                  Convidencia, c’est aussi beaucoup d’humour, un côté “décalé”, “pirate”-même, qui le démarque d’autres entreprises du même secteur.

                                  Pascaline Vertessen de la STIB nous le confirme : “on sent aussi l’approche ludique de Convidencia dans ses formations, il y a du jeu derrière. On a l’impression qu’on est entre amis autour d’un jeu de plateau.” 

                                   

                                  Selon Vanessa Plasria, HR à la STIB Academy, “l’accompagnement de Convidencia est plein d’humour, est ludique et avec beaucoup de professionnalisme.

                                   

                                  Didier Lefebvre nous explique la formation ParticipAgile suivie en interne chez OSL : “L’aspect ludique et le sérieux mélangés était aussi quelque chose de fortement apprécié et qui montrait que c’était pas une formation du style masterclass, mais vraiment une animation, un teambuilding.”

                                   

                                  Selon, Estelle Kupperschmitt, Responsable Organisation et Développement à la RTBF“leur sens de l’humour est très important chez Convidencia et leur permet de rebondir.”

                                  Robin Vincent-Smith, Change Manager chez Médecins-Sans-Frontières, résume Convidencia comme “une bonne dose de fun”.

                                   

                                  4. Un binôme de choc

                                  Convidencia, c’est enfin un duo au sommet : Lionel & Michel, ou Michonel pour les intimes 😉

                                  Estelle Kupperschmitt, Responsable Organisation et Développement à la RTBF, nous le décrit comme ceci : “le binôme Lionel et Michel, il est très complémentaire. Chacun est très bien dans la partie qu’il fait. Ce que j’ai trouvé chouette c’est cette collaboration super facile, leur flexibilité et leur adaptation à chaque fois car honnêtement je trouve qu’on est super compliqués. »

                                  Pour Robin Vincent-Smith, Change Manager chez MSF, “le binôme est très complémentaire. Michel apporte le côté ludique, hackathon, challenging. Le côté macro vient de Lionel. Mais tous les 2 s’amusent, et ça se voit et c’est chouette pour les participants.”

                                   

                                  Vanessa Plasria, de la STIB : “(…)après avoir travaillé avec Lionel, j’ai découvert Michel que j’ai vraiment apprécié aussi. J’ai beaucoup apprécié sa personnalité, son côté un peu en retrait mais très humble, avec une grande expertise. J’ai bien apprécié leur complémentarité à 2.”

                                   

                                  Pour Pascaline Vertessen, de la STIB également « Lionel et Michel ne se prennent pas au sérieux. Il y a une accessibilité du formateur et énormément d’humour. (…) Lionel et Michel sont super complémentaires.”

                                   

                                  5. Convidencia en quelques mots

                                  Et si nos clients devaient nous donner des qualificatifs, quels seraient-ils?

                                   

                                  Selon Nathalie Dumont de Karrot, l’accompagnement de Convidencia peut être qualité de très humains, et cela tient autant à Lionel qu’à Michel ou leurs consultants. Mais aussi “la bienveillance est omniprésente dans leurs approches. Et ils ne se contentent pas de ce qui fonctionne bien, ils font preuve d’un réel questionnement vis-à-vis du client et de la problématique du moment, ce qui permet de se projeter avec confiance vers l’avenir. Je peux dire qu’il existe chez Convidencia un réel suivi et un engagement, ce qui contribue à construire une vraie relation et pas seulement une relation contractuelle.”

                                  Pour Estelle Kupperschmitt, Convidencia pourrait être qualité en 3 mots : fun, pragmatique et flexible.

                                   

                                  D’après Didier Lefebvre, Convidencia, ce sont des animateurs et formateurs au top dans la connaissance du sujet, dans la proposition de la boîte à outils.” Mais également “L’aspect ludique dans le sérieux de l’approche.” Et enfin, l’aspect pratique et profitable directement.”

                                   

                                  Et enfin selon Patrick Parmentier, deux termes ressortent. “Chez Convidencia, il y a une bienveillance et une capacité d’empathie, d’écoute positive dans les gestes, dans la manière qui impliquent que les personnes suivent le mouvement. On joue le jeu, on est dans la dynamique positive et les égos s’effacent. Ca, c’est très très fort. C’est une des causes de leur réussite.”

                                   

                                  Pour terminer cet article, cette citation de Steve Job illustre assez bien comment nous voyons notre travail chez Convidencia : “ la seule façon de faire du bon boulot, c’est d’aimer ce que vous faites”.

                                  Un hackathon au Cap Vert

                                  Un hackathon au Cap Vert

                                  #Hack4Citizens ou comment construire des solutions innovantes par et pour les citoyens

                                   

                                  Une grande première pour Convidencia cet été, c’était sa participation au Cap Vert au Hack 4 Citizens.

                                  L’objectif de cet hackathon organisé par l’institution la Casa Do Cidadão, était de rassembler des développeurs, entrepreneurs, concepteurs, étudiants et citoyens pour co-créer des solutions innovantes destinées à améliorer les services publics. Le focus se faisait l’intersection de la technologie numérique et des services des institutions publiques du Cap Vert.

                                  Concrètement, l’événement, s’est déroulé les 14 et 15 juillet. La matinée du 14 juillet était consacrée à pitcher son idée et créer les groupes de travail. Tout au long du week-end, les participants ont pu rencontrer des personnes expérimentées et passionnées, mais également recevoir des conseils d’experts et professionnels de l’industrie.  

                                   

                                  Michel Duchateau y était d’ailleurs présent. Il nous raconte en quelques mots son expérience sur place :
                                  “ Le Cap Vert est une jeune démocratie où les institutions publiques se veulent innovantes et en pleine transformation digitale. Des projets sont en cours tels que le déploiement de la carte d’identité électronique, le management paperless et l’usage d’application mobile pour accéder aux services publiques. Parfois bien plus en avance que notre royaume, le Cap Vert a fait un bon en avant, en organisant son premier hackathon d’innovation ouverte avec ses citoyens. Concrètement, l’institution publique a proposé des challenges concrets que les citoyens ont tenté de résoudre. L’équipe gagnante est maintenant soutenue par les pouvoirs publics pour finaliser le projet. Le jury, composé d’entrepreneurs et d’administrateurs publics,  a été impressionné par la créativité des participants. Les organisateurs ont déjà prévu la prochaine édition ! ”

                                   

                                  C’est bientôt la rentrée !

                                  C’est bientôt la rentrée !

                                  Qui dit rentrée scolaire dit planification. Début septembre, c’est toujours le moment où on découvre les cahiers à recouvrir. Et Ô joie de voir l’énorme pile de cahiers à chaque fois.

                                  Mais cette année, quelque chose a changé ! En effet, en feuilletant le journal de classe reçu de l’école, quelle ne fut pas notre surprise d’y apercevoir une rubrique concernant les stratégies de planification.

                                  L’article parle de la charge de travail qui devient de plus en plus importante pour les élèves au fil des années. Raison pour laquelle cela devient primordial de planifier pour s’organiser au mieux. Dans l’article, on décrit entre autre l’utilisation du Kanban.

                                  Kan … Quoi  ?

                                  Le Kanban est un tableau que l’on peut soit trouver online, soit créer soi-même en prenant une grande feuille blanche en format A3 par exemple pour l’afficher au mur. Ce tableau sert à visualiser l’ensemble des tâches/devoirs/leçons à réaliser au fil des prochaines semaines.

                                  Il se découpe en trois parties distinctes : ce qui est à faire – ce qui est en cours et ce qui est terminé.

                                  L’avantage d’avoir un kanban en version papier sur un mur – par rapport à la version online – est que l’on peut placer les post-its des tâches à faire dans les colonnes correspondantes et les déplacer dans la colonne suivante. Les post-its naviguent donc d’une colonne à l’autre.

                                  Cette visualisation permet à l’enfant de facilement voir où il en est dans ses activités et il peut ainsi s’organiser au mieux afin que l’ensemble de ses posts-its arrivent dans la case “terminé” au moment voulu. De plus, déplacer les posts-its d’une colonne à l’autre lui procurera une énorme fierté et un sentiment d’accomplissement.

                                  Cette méthode est déjà utilisée dans  de nombreuses entreprises pour optimaliser l’organisation interne et surtout permettre de voir les projets étape après étape (par itération). Convidencia  l’a d’ailleurs adoptée depuis des années et le fait que des écoles en fasse mention est une véritable belle et bonne initiative.

                                  Donc  à vos  post-its les enfants et épatez vos parents !         

                                  Et pour les parents qui désireraient en savoir plus ou qui aimeraient intégrer cette pratique chez eux ou dans leur entreprise, l’itération (l’action de répéter un processus, d’avancer étape par étape) fait partie intégrante de la formation ParticipAgile.

                                   

                                  Cela vous intéresse? Allez faire un tour sur notre page “Evénements” pour découvrir nos prochaines formations.

                                  Les hackathons du printemps

                                  Les hackathons du printemps

                                  “Nos leçons des 5 derniers hackathons privés et publics”

                                  Durant le printemps 2018, Convidencia a animé 5 hackathons en pas moins de 6 semaines, dans des contextes très différentes les uns des autres. En effet, nous sommes à la fois passé par le secteur non-marchand, les entreprises, le service public ainsi que le monde des startups.

                                  Retour sur ces 5 expériences très différentes, enrichissantes et le succès des hackathons, outil de plus en plus utile et utilisé dans des secteurs très variés.

                                  Les hackathons deviennent de plus en plus populaires en Belgique et en Europe. A l’origine, les hackathons étaient exclusivement dédiés aux solutions logicielles. Les livrables étaient des démos ou prototypes. Aujourd’hui, les hackathons peuvent aussi être des événements liés à des secteurs totalement différents l’un de l’autre et très éloignés du secteur informatique d’origine. En Belgique, la construction de ces événements reste cependant toujours la même : ils varient de 1 à 3 jours durant lesquels différentes équipes vont créer un projet dans le temps défini et vont trouver des solutions à une problématique de départ. Les équipes présentent ensuite leurs résultats devant un jury à la fin de l’événement, lequel choisira le projet gagnant.

                                  1/  Hack2Act dans le non-marchand

                                  Les 20 et 21 avril passés, nous animions l’événement Hack2Act avec notre équipe de coaches et facilitateurs. Il s’agissait d’un hackathon public de 2 jours sur l’éducation à la citoyenneté mondiale, une première en Belgique. L’objectif du hackathon était de trouver des innovations numériques permettant d’éveiller et de former les jeunes acteurs et actrices de ce monde aux interdépendances mondiales et de les inciter à agir. En tant que citoyens responsables et conscients de l’importance de la solidarité internationale, ce sont eux les futurs contributeurs à un monde plus juste et durable.

                                  Marleen Peeters, consultante chez Convidencia, nous parle de son expérience en tant que coach sur place avec l’équipe gagnante.“C’est l’atmosphère conviviale et participative qui m’attire aux hackatons en général et le thème de l’éducation à la citoyenneté mondiale qui m’a convaincue à m’inscrire comme coach d’équipe pour Hack2Act. Ce n’est qu’en mettant leur énergie et leur cerveau individuel au sein du groupe que les équipes arrivent à la fin avec de vraies prototypes. J’étais le coach de l’équipe qui a gagné ce hackaton: 1TerreAction. Ils ont créé un jeu pour des enfants de 8-10 ans pour les sensibiliser sur des différents thèmes de la citoyenneté mondiale. Au début ils étaient 2 groupes avec des idées assez différentes, qui étaient à peine liées. Et, au fur et à mesure, ils ont découvert les liens et la richesse de la consolidation des deux idées de base. Ils ont gagné parce qu’ils ont surtout travaillé sur la maturation de leur idée et non sur la partie technique. 1TerreAction est d’ailleurs toujours une équipe: ils utilisent encore le groupe WhatsApp créé lors de l’hackathon et ils se sont d’ailleurs réuni avant-hier pour un bbq chez l’un d’eux. Je suis toute fière de cette équipe! “

                                  Dans cette vidéo , vous découvrirez l’annonce du gagnant de l’hackathon.

                                   

                                  2/ Bootcamp de scale-up avec BEyond

                                  Ensuite, les 27 et 28 avril, Michel Duchateau, facilitateur expérimenté, a également co-animé le premier Bootcamp pour le lancement du programme BEyond avec Pulse Foundation. 

                                  Pulse Foundation a comme ambition de promouvoir l’emploi par la promotion de la cause entrepreneuriale. Depuis leur création, ils ont soutenu pas moins de 1100 entreprises. Mais après 5 ans, ils se sont rendus compte que les entreprises créées étaient restées très petites. Le programme BEyond a donc été conçu pour remédier à cela, raviver l’esprit de conquête des entrepreneurs belges et donc redynamiser l’économie belge. Ce programme s’étalera sur 18 mois. Les mentors choisis pour le projet ont l’objectif d’aider les entrepreneurs à construire leur plan de développement. Le Bootcamp des 27 et 28 avril sonnait donc le début du programme BEyond et représentait la phase d’accélération pendant laquelle les entreprises étaient amenées à développer leur plan de développement.

                                  3/ Hackathon d’innovation privé pour Holcim

                                  Les 6, 7 et 8 mai derniers, Convidencia en partenariat avec Impact Valley, a organisé et animé un hackathon inter-entreprise de 3 jours pour Holcim.

                                  Holcim est une entreprise belge fabriquant et distribuant un grand nombre de produits (ciment, béton…) pour la filière du bâtiment, les industriels et la construction. Pendant 3 jours, des employés de l’entreprise se sont réunis pour développer des solutions digitales innovantes avec des prototypes concrets présentés à la direction.

                                  Convidencia était chargé d’animer et coordonner les groupes de travail, qui avaient au préalable défini 2 axes de projet à développer un maximum pendant les trois jours. L’équipe d’Impact Valley guidée par Bastien Van Wylick avait pour but de développer au niveau informatique et technique imaginées par les différents groupes. Les trois jours ont été “riches en apprentissages, en partage et en émotion. C’est incroyable ce que les groupes ont réussi à présenter suite aux trois jours de travail. Les projets finaux présentés à l’issue de l’hackathon étaient précis, réfléchis et déjà très concrets”, nous explique Gaëlle Dutron, responsable Communication Chez Convidencia, présente pendant 2 jours lors de l’hackathon.

                                  Bastien Van Wylick, fondateur de Impact Valley, nous explique les atouts d’intégrer des hackathons dans les entreprises afin de développer de manière accélérée des projets innovants ou de trouver des solutions à des problèmes existants.

                                  Nous avons déjà fait des hackathons à de nombreuses reprises avec nos clients et, récemment avec Holcim, nous sommes parvenus à simuler un « minimum viable product » tout à fait suffisant que pour valider certaines hypothèses et la traction sur le marché. Selon moi, il est vital d’intégrer l’approche d’intelligence collective au sein des organisations pour accélérer des projets innovant mais ce n’est qu’une étape dans un processus de longue haleine. L’avantage du hackathon est qu’il permet de prioriser les investissements !”

                                  4/ Hackathon d’étudiant avec Partenamut et l’UCL

                                   Depuis 1 an, Convidencia travaille avec Partenamut afin de les aider dans leur trajet d’évolution tant au niveau de leur organisation que de leur culture. Le 14 mai dernier, dans sa démarche de collaboration et de partenariat, Partenamut a organisé son premier hackathon avec l’UCL.

                                  Cette fois-ci le hackathon faisait intervenir des étudiants en Master 1 et 2 de Communication à l’UCL afin qu’ils réfléchissent eux-mêmes à une problématique qui les concernent : “bien manger dans son kot”. L’objectif du hackathon organisé par Partenamut était qu’ils construisent un plan de communication et un plan média autour de la problématique de départ, avec le #PartenamutBienManger et qu’ils présentent cela devant l’auditoire. En une seule journée, les 80 étudiants ont réalisé 10 propositions abouties, encouragées par Partenamut.

                                  Luc Van Mellaert, organisateur du hackathon et directeur marketing chez Partenamut nous explique comment leur est venue cette idée et la plus-value d’un tel hackathon.

                                  “Partenamut souhaitait s’adresser aux « millennials » dans ses campagnes de prévention santé, sur un mode d’échange ludique et interactif. Vu le surpoids et même l’obésité croissante chez les étudiants en kot, la thématique du « bien manger dans son kot» prenait tout son sens. Le but n’était pas d’imposer des conseils moralisateurs, mais d’encourager les bons choix alimentaires. Approcher cette cible via un hackathon répond à l’objectif de faire avancer la santé de demain en co-construction avec des jeunes, des « millennials », de façon participative. Ce hackathon a permis un véritable échange et un débat, dont ont émergé des idées innovantes et adaptées à la cible. Les participants, étudiants en marketing, ont concrétisé les initiatives en plans médias par groupe sur la thématique : « bien manger dans son kot », avec présentation à un jury.”

                                   

                                  Pour découvrir le projet en vidéo, c’est par ici.

                                  5/ Startup Weekend Sevilla – International Edition

                                  Du 18 au 20 mai dernier, Michel de Convidencia facilitait la toute première édition du Startup Weekend International Edition.

                                  L’objectif de cet hackathon était de créer un énorme brainstorming de 54 heures par équipe afin de transformer des idées en projets réels de startups. L’ambition de cet événement est de créer des projets en équipes et susciter le goût d’entreprendre en passant par l’action. Le premier jour du hackathon, chaque personne avec une idée à une minute pour pitcher et présenter son idée. Les idées les plus inspirantes et recueillant le plus d’idées sont retenues. Et les équipes sont formées en fonction. Cela signifie que chacun peut donner sa contribution, ses connaissances et son expérience à l’idée qui nous inspire. Le samedi et le dimanche, avec l’aide de facilitateurs – tel que Michel Duchateau de Convidencia, les participants vont développer le business plan autour de leurs idées. Et enfin dimanche soir, les équipes ont 5 minutes pour présenter leur projet final devant un jury qui choisira le gagnant du Startup Weekend. Le jury était impressionné par les résultats des équipes : un business model, un prototype fonctionnel et les premiers contacts clients !

                                  Retour sur l’expérience de ce Startup Weekend par Michel Duchateau“Ce weekend-là, il y avait 25 Startup Weekend en même temps dans le monde. A chaque fois, des organisateurs passionnés qui veulent aider leurs pairs en contribuant à un écosystème pour avoir un impact local. Donner pour donner, en faisant grandir les participants. J’adore la particularité des Startup Weekend, car leur énergie et leur passion unique est contagieuse! J’ai facilité des hackathons en Belgique, Luxembourg, France, Danemark, Congo, Espagne. A Seville, j’ai vu ce qu’une communauté organisée par des volontaires pouvait offrir de meilleur. Les participants épuisés ont gagné une expérience intense, le goût d’entreprendre, un vaste réseau accueillant et de l’audace. Beaucoup d’audace. Probablement suffisamment pour créer les success stories de demain!”

                                  Pour plus d’infos sur le Startup Weekend, c’est par ici.

                                  Vous aimeriez vivre une expérience hackathon dans votre entreprise? ou avec vos employés? Ou simplement en connaître plus sur le sujet?

                                   

                                  Téléchargez notre étude sur les hackathons écrites sortie fin 2017 et écrite par Michel Duchateau, expert en innovation et en hackathon en cliquant ici

                                  Vers de nouvelles formes organisationnelles

                                  Vers de nouvelles formes organisationnelles

                                  Aujourd’hui, on se rend compte que le monde des entreprises évolue, ainsi que leurs besoins que ce soit au niveau de leur nécessité d’autonomie, leur besoin de coopération, d’avoir des collaborateurs plus engagés, de gérer des problèmes complexes, de donner du sens à la fonction de chacune ou de créer plus de valeurs dans l’organisation.

                                  Ces entreprises se posent des questions sur les manières d’organiser leur travail et les responsabilités. Et pour elles, cela devient une priorité à l’heure actuelle de devenir agiles et donc à la fois stables et flexibles. Sous pression, une organisation agile n’est pas seulement robuste, mais plus il y a de la pression, plus elle devient performante. 

                                  Depuis plus de 10 ans, Convidencia accompagne, conseille des entreprises dans leurs transitions culturelles et structurelles mais guide également les chefs d’entreprise, les équipes et des départements vers plus d’agilité, de coopération et une performance durable. 

                                  Selon Convidencia, les nouvelles formes organisationnelles ne peuvent pas sereinement émerger en continuant de les représenter de manière traditionnelle (comme via un organigramme ou une structure matricielle). Il est nécessaire de penser nos entreprises de manière différente et pour cela de les représenter autrement. Nous appelons cette approche le “design holarchique”.

                                  Il ne s’agit pas d’une approche qui prétend nécessairement “libérer” les organisations  ou qui vise à développer la “sociocratie” ou “l’holacratie”, mais il s’agit plutôt de penser et représenter les organisations en utilisant les fondements et le fonctionnement de l’holarchie. Cette méthode permet de représenter de manière structurée et flexible des éléments qui fonctionnent ensemble sous la forme de cercles, de rôles et de flux de coopération

                                   

                                  Cela vous intéresse d’approfondir le sujet? Vous vous sentez concernés par cette évolution?

                                  Laissez-nous votre email afin de recevoir notre guide du design holarchique qui sortira prochainement en cliquant ici.

                                  Créez votre équipe gagnante !

                                  Créez votre équipe gagnante !

                                  Et s’il y avait un secret derrière une bonne équipe ? Et si on pouvait réellement créer son équipe gagnante ? C’est ce que nous explique le Professeur Yves Enrègle, enseignant et expert en sociologie des organisations, qui utilise les personnages de la célèbre BD d’Astérix et Obélix pour expliquer les 5 types de pouvoir. Et comme c’est ludique, fun et surtout très instructif, chez Convidencia on aime beaucoup et du coup on a voulu vous ré-expliquer tout cela.

                                  D’après vous, pourquoi le village gaulois résiste-t-il encore et toujours à l’envahisseur romain ? Et bien parce que au sein de ce village, co-existent les cinq formes de pouvoir, sur un même pied d’égalité. Ces 5 formes de pouvoir sont chacune représentées par un personnage clef de la bande-dessinée.  

                                  L’action guidée

                                  Commençons d’abord par notre cher Obélix. Obélix, c’est celui qui est caractérisé par sa capacité d’exécution. Énergique et dynamique, il est toujours dans l’action. C’est bien clair : il sait tout faire mais ne sait pas pourquoi il le fait. On l’appelle donc le réalisateur ou R. Sa limite est le changement, qu’il n’aime pas. Il est ce qu’on peut appeler aussi le pouvoir de compétence. Mais Obélix a clairement besoin de quelqu’un pour le guider et lui dire quoi faire.

                                  C’est là qu’intervient notre deuxième personnage, Astérix, aussi appelé le Guide ou G. Astérix est la personne qui va analyser ce qui l’entoure : son environnement, les menaces, les opportunités.Contrairement à Obélix, il sait ce qu’il faut faire, mais ne sait pas le faire. Mais ce qui le caractérise aussi, c’est son instabilité. Comme il passe son temps à analyser l’environnement et que celui-ci change tout le temps, son inertie au changement est très faible. On parie que vous avez déjà connu ça ;-). Astérix représente donc le pouvoir d’expertise.

                                  Mais les équipes Obélix-Astérix (ou R-G) sont des équipes faibles. Tout d’abord parce que Astérix (G) a sans cesse de nouvelles idées. Obélix (R) a du mal à le suivre et surtout à savoir les enjeux de ce qu’il met en action suite aux nouvelles décisions d’Astérix. Et Astérix ne mesure pas les conséquences de ces changements d’avis sur les actions d’Obélix. Bref, on tourne en rond, et ça peut mener nulle part. De plus, Astérix n’a que le pouvoir que lui consent Obélix, mais Obélix conteste souvent le pouvoir d’Astérix. Donc comment s’en sortir dans ce cas-là ?

                                   

                                  La cohésion coordonnée

                                  Ces 2 personnages doivent être coordonnés par un organisateur, ou O. Sa position sera plus élevée dans la hiérarchie pour que Astérix/G et Obélix/R acceptent ses règles. Dans la BD, il s’agit du chef du village, c’est d’ailleurs son seul pouvoir. Son nom Abraracourcix exprime clairement qu’il n’a pas le bras long donc pas le pouvoir (à bras raccourcis). Son but est juste de créer une synergie entre les 2 personnages, malgré leurs différences et déséquilibres. O n’a pas d’expertise ou compétence particulière (il n’est d’ailleurs pas plus intelligent qu’Astérix ni plus fort qu’Obélix). Il n’est là que pour coordonner. Ses mots clefs sont donc planification, contrôle et prise de décision. Il s’agit en d’autres termes du pouvoir administratif.

                                   Cependant, il peut arriver que les 3 personnages R, G et O aient des difficultés à s’entendre. C’est là qu’arrive le Mobilisateur, ou M. C’est une personne qui va rassembler les gens autour de lui soit par séduction soit par une expertise détenue de lui seul.  Ce mobilisateur c’est Panoramix, le druide qui comme son nom l’indique, voit loin. Il n’est rien dans “l’organigramme”, mais il est charismatique, il crée de la cohésion et on le croit. Ce charisme a quelque chose de magique d’ailleurs, d’où le rôle du druide. Ce personnage peut soit aider O à remettre R et G d’accord, soit il peut aider R et G à sortir d’une situation bloquée. C’est de toute façon quelqu’un d’indispensable pour des situations bloquées mais surtout de manière ponctuelle. On l’appelle le pouvoir charismatique.

                                  Le cinquième pouvoir

                                   

                                  En résumé, nous avons donc Astérix ou G qui guide l’action. Obélix, R, qui réalise cette action. Abraracourcix, O, qui coordonne et fait le lien entre G et R.

                                  Et ensuite le druide, Panoramix ou M qui prend la relève de cohésion de groupe.

                                  Mais il manque notre 5e profil qui va faire en sorte que le village reste invulnérable face à l’ennemi, surtout en cas de grosse zizanie. Il s’agit du fameux barde : Assurancetourix. On l’appelle aussi le mobilisateur négatif ou M-. Sa présence n’est pas indispensable, d’ailleurs tout le monde le déteste. Mais il va pouvoir faire office d’exutoire pour apaiser la tension du groupe. En effet, dans les moments où le village est en pleine discorde, il suffira que le barde prenne sa lyre et commence à chanter pour que d’un coup les villageois commencent à oublier leurs tensions et qu’ils s’unissent contre le barde pour le faire taire. Assurancetourix a donc le pouvoir de recréer l’unité du groupe contre lui. Son pouvoir est appelé le pouvoir de l’intégrateur négatif.

                                   

                                  Une équipe complémentaire

                                  Pour résumer, nous dit Yves Enrègle, “si le village gaulois résiste tant bien que mal à l’envahisseur, c’est bien parce que les 5 profils s’articulent.”

                                  En revanche, dans la vie réelle, nous ne sommes rarement un seul profil mais plutôt un mix. Par exemple, il y a peu de personnes qui ont le profil R & G en même temps ou O & M. On rencontre davantage les mix de profils suivants : R & O ou G & M. Mais pour être un bon leader, nous devons rassembler les quatre qualités au sein de notre équipe et donc choisir des personnes qui maitrisent des dimensions sur lesquelles on se sent plus faible.

                                   

                                  La complémentarité n’efface cependant pas le pouvoir, mais permet d’éviter une mésentente afin de conserver une cohésion d’équipe.

                                   

                                  Et vous, vous avez deviné quel(s) type(s) de profil vous correspond le mieux entre G (Astérix), R (Obélix), M (Panoramix) ou O (Abraracourcix) ?

                                  Merry Hackathon

                                  Merry Hackathon

                                  Parce que selon Convidencia, le savoir, les bonnes pratiques et les connaissances se partagent, nous vous donnons l’occasion de découvrir l’univers des Hackathons dans cette étude réalisée par Michel Duchateau, expert en innovation chez Convidencia. C’est une première en Belgique ! Et comme nous sommes d’humeur généreuse en cette fin d’année et à l’approche des fêtes de noël, cette étude vous est offerte.

                                  Hackathons ? Mais késako ?

                                  Vous en avez certainement entendu parler. Les hackathons deviennent de plus en plus populaires en Belgique et en Europe. Le mot “Hackathon” vient en fait de la contraction de 2 mots : “hack” qui signifie dépasser ses limites pour atteindre un résultat et “marathon”. Non ce n’est pas une course à pied. Mais il s’agit en fait d’événements variant de 1 à 3 jours durant lesquels différentes équipes vont créer un projet en un temps défini (et parfois record) et/ou trouver des solutions à une problématique définie. Les  différentes équipes s’affrontent et présentent leurs résultats à la fin de l’événement devant un jury qui choisit le projet gagnant.

                                   

                                  Pourquoi une étude sur les hackathons ?

                                  Tout d’abord, parce que, fans de Hackathons, Convidencia a soutenu, suivi, organisé et coaché plus d’une soixantaine d’événements publics et privés en Europe et Afrique. Hé oui, rien que ça… Après avoir collecté de nombreux cas pratiques et repéré les “best practices”, ils sont donc réellement devenus experts en la matière. Ensuite, parce que cette étude est un réel manuel d’outils et de méthodes pour aider les organisateurs à se poser les bonnes questions, évider les erreurs et se lancer à leur tour dans cette expérience.

                                   

                                  Qu’est ce qu’on y trouve ?

                                  Des tips pratico-pratiques pour vous aider concrètement à mettre un hackathon en place :

                                  • Les bons moments durant l’année pour organiser votre événement
                                  • Les rôles des différents organisateurs à définir
                                  • Les 5 business models de base à suivre
                                  • Les objectifs clairs à définir de l’événement (un hackathon sur quoi, pour qui, combien de temps…) que ce soit pour l’organisateur ou le participant
                                  • Les types de lieu idéal à choisir
                                  • Les détails à ne pas oublier pour créer un événement au top (un bon wifi, du catering, douches…)
                                  • Des conseils pour trouver le nom de votre événement! Pas toujours évident…
                                  • Mais également le top 10 des erreurs à éviter et des solutions proposées

                                   

                                  Un cadeau comme cela, ça ne se refuse pas !

                                  Alors envie d’organiser des supers hackathons et devenir maître en la matière?  Cliquez sur le lien ci-dessous en nous laissant vos coordonnées. Cela nous permettra de vous recontacter pour vous proposer nos futures conférences ou événements sur le sujet.

                                   

                                  Belles fêtes de fin d’année à tous ! 

                                  Participagile Poker : un outil facile et pertinent à utiliser en entreprise !

                                  Si vous vous y connaissez en méthodes agiles ou que vous avez déjà participé à notre formation ParticipAgile Foundation, vous connaissez très certainement le Planning Poker.

                                   

                                  Pour ceux pour qui Poker rime uniquement avec jeux d’argent ou strip tease, rassurez-vous, il n’y a rien de tout ça dans le planning poker et encore moins dans nos formations ParticipAgile (non, non le côté « 100% fun » n’insinue pas ce genre d’amusement, promis !¹)

                                   

                                  Pourquoi utiliser le Planning Poker ?

                                  A la base, le planning poker est une méthode agile, décrite pour la première fois par James Grenning en 2002, afin de produire, de manière ludique, des estimations sur la complexité de fonctionnalités à développer. Par la suite, il a été popularisé dans toutes les entreprises et dans les équipes où certaines décisions se font (ou devraient se faire) en équipe. Généralement utilisée par les managers de projet, cette méthode a deux avantages :

                                  • elle permet au responsable et à l’équipe d’échanger sur la complexité des différentes tâches du projet.
                                  • elle permet d’avoir une vue plus « juste » de cette complexité, tout simplement parce que celle-ci est validée par des participants avec des niveaux d’expérience et d’expertise différents.

                                  Comment fonctionne le Planning Poker ?

                                  Si le Planning Poker ressemble, de prime abord, à un jeu de cartes normal, en ouvrant le paquet vous pourrez vous apercevoir que les valeurs ne sont pas du tout les mêmes. Généralement, la suite de Fibonacci est utilisée pour les évaluations. Le planning poker comporte donc les valeurs suivantes : 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144 (ou 20, 40, 100 pour les grandes valeurs).

                                   

                                  Le déroulement du Planning Poker est très simple :

                                  • Tous les participants s’installent en rond, de sorte que tout le monde puisse se voir.
                                  • Le responsable explique le projet à l’équipe.
                                  • Les participants peuvent poser des questions au responsable, discuter du scénario, évoquer les conditions pour que le projet soit considéré comme achevé.
                                  • Chaque participant évalue la complexité liée à la réalisation du projet, choisit une carte qui correspond à son estimation et la dépose, face cachée, devant lui.
                                  • Après un laps de temps prédéfini, les cartes sont retournées en même temps.
                                  • S’il n’y a pas unanimité, la discussion reprend jusqu’à ce que l’écart entre les deux valeurs les plus éloignées soit acceptable.

                                  Le ParticipAgile Poker, c’est quoi ?

                                  Les anciens participants à la formation ParticipAgile Foundation s’en souviendront certainement, la méthode ParticipAgile utilise et forme ses participants à utiliser la méthode du Planning Poker, réadaptée à la sauce ParticipAgile Foundation, bien entendu ! Cette méthode est idéale pour prendre des décisions rapides et collégiales tout en s’assurant que tout le monde soit écouté et que les différentes expériences et expertises soient prises en compte.

                                   

                                  Le ParticipAgile Poker, stylé et multifonctionnel

                                  De nombreux participants aux formations ParticipAgile Foundation se demandant comment se procurer un jeu, Convidencia a finalement décidé de se lancer dans la production d’une nouvelle version du Planning Poker. Convidencia est donc fière (et pas qu’un peu) de vous présenter le Planning Poker spécial ParticipAgile ! Illustré par Oli, le ParticipAgile Poker permet non seulement d’évaluer la complexité mais aussi la valeur, la pertinence et le contrôle ! En outre, le jeu n’est pas qu’un planning poker et peut aussi être utilisé pour de nombreuses autres applications, tel que, par exemple, la création de groupes de travail aléatoire !

                                   

                                  Comment s’en procurer ?

                                  Les jeux pourront, dès octobre, être acheté en ligne ou par email. En outre, des exemples d’utilisation seront disponibles sur notre site.

                                   

                                  En attendant, vous pouvez déjà, si vous le désirez, pré-commander votre jeu par email à contact@convidencia.com ! 

                                   

                                  Quel prix ?

                                  1 paquet : 20 €
                                  2 paquets : 30 € (15 € / paquet)
                                  3 paquets : 40 € (13,33 € / paquet)

                                  … Et pour les curieux, voici quelques exemples de cartes :

                                  Méthodes agiles : le meilleur pour votre startup !

                                  Méthodes agiles : le meilleur pour votre startup !

                                  De plus en plus de startups s’intéressent aux méthodes agiles. Et quoi de plus normal pour des entreprises qui avancent à tatons, dans l’incertitude la plus complète et qui n’ont absolument aucune idée de ce que l’avenir leur réserve ? Il ne faut pas être un génie pour deviner que cet environnement demande d’être flexible, agile et d’avancer étape par étape, petit pas par petit pas.

                                   
                                  Et pour cela, rien de tel que les méthodes agiles !
                                   

                                  Les méthodes agiles ?

                                  Vous n’avez jamais entendu parler d’agilité ? Vous entendez parler un peu partout autour de vous mais ignorez , en fait, de quoi il s’agit (information que vous nierez si on vous pose la question) ? Pas de panique, voici un petit récapitulatif :

                                  Le manifeste Agile, rédigé en 2001, référence les valeurs communes des méthodes agiles en se basant sur l’expérience de nombreuses méthodes de gestion de projets agile. Ce manifeste regroupe ces méthodes sous le terme agile car elles suivent généralement 4 principes fondamentaux :

                                  • elles privilégient les interactions entre individus
                                  • elles tendent vers la création de fonctionnalités opérationnelles
                                  • elles insistent sur  la collaboration avec le client
                                  • elles aident à accepter le changement

                                  Les méthodes agiles sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus utilisées en entreprise et surtout en cas de projets dont on ne connait pas encore bien toutes les données. Les startups et les PME en sont évidemment friandes vu le haut degré d’incertitude inhérent à leur statut de jeunes ou petites entreprises. La plus connue est évidemment Agile Scrum et ses pratiques comme le Planning Poker, que Convidencia utilise beaucoup (plus d’informations sur le Planning Poker ici).

                                   

                                  Par quoi commencer ?

                                  Se mettre aux méthodes agiles n’est pas toujours facile. En effet, outre le nombre de méthodes, les sources à leur sujet sont variées et évidemment différemment documentées. Ainsi, pour vous aider à découvrir et commencer à utiliser les méthodes agiles, voici quelques références  :

                                   

                                  1. Pour comprendre Scrum, on vous propose :

                                  2. Pour mieux comprendre les origines des méthodes agiles, renseignez-vous sur :

                                  3. A feuilleter compulsivement :

                                  • Succeeding with Agile: Software Development Using Scrum. (sur Amazon.fr à 45€)
                                  • Scrum – 3e éd. – Le guide pratique de la méthode agile la plus populaire. (sur Amazon.fr à 30€)

                                  4. Pour en savoir plus :

                                  5. Formations :

                                  Ordinairement, une formation officielle coûte 1500€ sur le marché. Le centre de formation Technofutur TIC à Charleroi vient de lancer la Agile Academy qui commence en septembre 2017. Le prix est cassé pour les entreprises et gratuit pour demandeurs emploi.

                                   

                                  6. Certifications :

                                  Un des avantages est marketing : une startup peut gagner en crédibilité et légitimité en affichant le logo « certifié agile scrum » lorsqu’elle gère des projets pour les clients et partenaires. Ca peut être un point de différentiation fort par rapport à des concurrents. Pour en savoir plus sur les certifications, contactez-nous.

                                   

                                  Les recommandations de Michel, expert agile chez Convidencia :

                                  En tant que praticien et instructeur, je conseille en général  de privilégier l’expérience. Il ne faut pas connaitre les détails des bouquins pour commencer à pratiquer. D’autre part, tous les experts s’accordent à dire qu’Agile Scrum est une méthode facile à comprendre, et très difficile à appliquer. Beaucoup de startups et entreprises abandonnent l’adoption d’Agile parce qu’ils oublient les pré-requis. Je ne connais pas de startup à succès qui n’utilisent pas les principes et process d’Agile.

                                  Si vous hésitez toujours à vous lancer seul, n’hésitez pas à nous contacter pour un diagnostic ou un coaching !

                                  Attention ! La salutogenèse guérit considérablement votre entreprise

                                  La santé de vos employés, en particulier leur santé mentale, doit faire partie de vos préoccupations les plus grandes. Le lien entre travail et santé a été démontré plus d’une fois. Promouvoir la santé et le bien-être au travail peut avoir un impact direct sur le stress et donc la motivation, la présence et la productivité de vos employés. Dans cet article, nous allons voir comment l’application du modèle de la salutogenèse à votre entreprise peut changer la perception du stress et se révéler un excellent investissement.

                                   

                                  Le modèle de la salutogenèse

                                  Traditionnellement, l’accomplissement des soins de santé repose sur une approche orientée vers le problème, c’est à dire vers la pathologie elle-même. C’est la maladie qui est le déclencheur de l’action. Autrement dit, tant que la maladie ne s’est pas déclarée, le médecin n’intervient pas.
                                  La salutogenèse consiste à adopter l’approche inverse. Au lieu d’envisager les choses selon la dichotomie problème/solution, elle propose de construire la réflexion et l’action à partir de ce qui fonctionne : la santé et les conditions qui permettent de la conserver. De manière générale, il s’agit de percevoir et développer les facteurs positifs d’une situation plutôt que d’en souligner les risques et tenter de les éviter.

                                   

                                  Comment l’adopter ?

                                  Avant tout, souvenons-nous que, selon la salutogenèse, la santé dépend de l’impression de cohérence éprouvée par un individu, c’est à dire sa capacité à comprendre et gérer ses expériences, à donner du sens à sa vie et à son travail. Cette capacité varie selon les ressources de chacun : estime de soi, force physique et morale, réseau social, etc. Par conséquent, nous ne nous défendons pas avec les mêmes armes face au manque de cohérence.

                                  Néanmoins, pas de fatalité : l’impression de cohérence n’est pas stable au cours de la vie, et chacun peut apprendre à la développer ou la renforcer, en jouant sur des facteurs qui ne relèvent pas seulement de la personnalité mais de l’environnement dans lequel évolue la personne (le lieu de travail, par exemple).

                                  En tant qu’employeur, manager ou directeur des ressources humaines, il est donc essentiel que vos efforts soient orientés vers l’amélioration de l’impression de cohérence de chaque employé ; sans cela, vous risquez de ne jamais connaitre les bienfaits qui en découlent.

                                   

                                  La gestion du stress et l’approche salutogénique

                                  Le problème du stress est à la base de la réflexion qui a donné naissance au modèle de la salutogenèse. Tout travail contient son lot de stress. Le stress est une réponse naturelle du corps face à une menace (ou stresseur). Le stress se manifeste lorsqu’un écart se creuse entre ce qu’un individu est capable de gérer et ce que requiert de lui une situation particulière.

                                  L’approche salutogénique consiste tout d’abord à reconnaitre la présence de stresseurs dans l’environnement de travail et le fait que les individus doivent y faire face. Ces stresseurs peuvent avoir des effets positifs (dépassement de soi, challenge, motivation) comme négatifs (dépressions, burn-out et autres pathologies) selon la façon dont l’individu va y répondre. La pression des délais, le manque d’interaction avec les collègues, un matériel obsolète, sont des exemples de stresseurs pouvant être perçu négativement dans le cadre du travail.

                                  Les employés avec un bon niveau de cohérence parviendront à considérer ces stresseurs comme un challenge et à les utiliser comme source d’énergie positive dans l’accomplissement de leur tâche. Au final, ils seront en meilleure santé que d’autres car ils auront appris à gérer, à vivre avec les stresseurs. Ils feront de la difficulté une force, du problème une ressource. Tout réside dans le fait de percevoir le stimulus d’une manière positive et constructive.

                                   

                                  Les bienfaits de la salutogenèse

                                  Des études ont établi une corrélation entre un faible niveau de cohérence et le développement de maladies variées. Du coup, les bénéfices de son renforcement sont multiples :

                                  • Diminution des arrêts maladie.
                                  • Moins d’absentéisme et de démissions.
                                  • Augmentation de la productivité, performance.
                                  • Plus de motivation, de satisfaction, de vitalité.
                                  • Le lieu de travail en tant qu’environnement sain.
                                  • Une nouvelle place pour la santé en tant que valeur ou ressource, liée à la productivité et l’économie, et faisant partie de notre recherche de bonheur et de sens.

                                  L’impact positif des stratégies de bien-être et de recherche d’équilibre entre travail et vie privée sur le stress lié au travail n’est plus à prouver. Investir dans une stratégie de santé et de bien-être produit un retour sur investissement significatif. Enfin, remarquez que la prévention des problèmes ne doit pas supplanter la résolution de ceux-ci ; de même qu’on ne peut négliger la maladie une fois qu’elle s’est manifestée. Les attentions doivent être complémentaires : soigner, prévenir, promouvoir.

                                  Les 5 caractéristiques du manager moderne

                                  Les 5 caractéristiques du manager moderne

                                  Le sage Lao-tseu, bien que nous ne soyons pas sûrs qu’il ait jamais existé, disait : « un leader est grand lorsque ses collaborateurs savent à peine qu’il existe, et, au moment où son travail est achevé, son objectif atteint, ils pensent : nous y sommes arrivés. »

                                  Etre capable d’inspirer aux autres l’excellence et le succès, n’est-ce pas la définition du leadership ?

                                   

                                  Ci-dessous vous découvrirez 5 des plus grands styles de leadership moderne, mêlant chacun sagesse, intelligence et créativité. Il y a, bien entendu, de l’inspiration à prendre de chaque approche, et certains leaders ne se retrouveront peut-être pas dans un style particulier, mais dans un mélange de plusieurs d’entre eux.

                                   

                                  1. Le confiant

                                  Il a confiance en ses employés, il connait leurs compétences et le fait savoir en déléguant les tâches en fonction des talents individuels de chacun.
                                  Une étude menée par des chercheurs en sociologie de l’université d’Oxford a démontré le lien entre confiance et intelligence : plus une personne est intelligente, plus elle aurait tendance à faire confiance aux autres. Cela s’explique par le fait que les personnes intelligentes seraient « plus à même de juger des personnalités des autres, et donc de créer des relations avec les personnes les moins enclines à les trahir. »

                                   

                                  2. L’analyste

                                  C’est un esprit cartésien. Chaque problème a sa solution, accessible par l’intelligence et le raisonnement. Pour maintenir l’excellence, il s’agit de prendre des bonnes décisions, c’est à dire logiques, efficaces et cohérentes avec le savoir-faire de l’équipe. Il en résulte un leadership très réfléchi, mais qui a la volonté d’être efficace et d’aller droit au but.

                                  3. Le prophète

                                  Le prophète est avant tout un visionnaire : il voit les choses avant les autres. Ici on pense évidemment à un leader tel que Steve Jobs. Son intuition le guide et son désir d’innovation le pousse à vouloir bouleverser les standards établis.

                                   

                                  4. Le passionné

                                  Il ne compte pas les heures qu’il consacre au travail. D’ailleurs, il ne considère pas ce qu’il fait comme du travail, tant il prend du plaisir à la tâche. Il se lève et se couche la tête pleine de ses projets. Si l’argent n’était pas une nécessité, il serait heureux de faire son boulot pour rien.
                                  Un tel enthousiasme ne peut qu’encourager ceux qui le côtoient.

                                   

                                  5. Le grand frère

                                  Souvent plus âgé, il dégage une force, une assurance et une confiance qui légitiment son rôle de leader. Il donne le ton, montre l’exemple, et son expérience fait de lui un pilier. Il est, en somme, la structure fixe sur laquelle peut s’appuyer toute l’équipe.

                                   

                                  Les 4 attitudes du manager

                                  Les 4 attitudes du manager

                                  Les 4 attitudes du manager, de l’apathique à l’empathique !

                                   

                                   

                                   

                                  Pour bien mener ses communications interpersonnelles il est souvent recommandé d’adopter une attitude empathique devant l’autre. Mais, qu’est-ce que cela signifie ? Comment décortiquer cette attitude prescrite pour développer des relations saines ?

                                  Pourquoi est-il si important pour un manager de s’assurer que leurs collaborateurs se sentent entendus, compris et soutenus dans leur développement ?

                                   

                                  Les 3 filtres perceptifs

                                  Imaginez-vous, en plein marathon de réunions, traversant les couloirs de votre entreprise, l’esprit tournant à mille à l’heure et, zigzagant entre les différents dossiers en cours,  vous apercevez à la machine à café un collègue qui vous fait signe de le rejoindre. Pas de bol, vous auriez bien aimé savoir comment s’est déroulé son déménagement mais, par manque de temps, vous lui faites un petit signe rapide en pointant du doigt votre horloge. Il a compris le message, la petite parlote n’est pas dans vos priorités du jour…

                                   

                                  Que vient-il de se dérouler dans votre esprit? Consciemment ou non, vous avez adoptez une attitude d’indisponibilité qui vous a préparé à décliner l’invitation de votre collègue. Cette attitude en question s’est construite grâce à plusieurs filtres perceptifs de votre cerveau :

                                  1. Le filtre cognitif vous a fait mobiliser les informations sur vos connaissances de la situation (manque de temps, priorités à respecter, statut de la relation avec votre collègue, etc.)
                                  2. Le filtre affectif vous a fait mobiliser l’ensemble des émotions ressenties devant la situation (regret, frustration, sympathie pour votre collègue, etc.)
                                  1. Le filtre comportemental vous a informé quant à votre intention d’action devant la situation (se montrer indisponible en justifiant le refus)

                                   

                                  Bien sûr, nos connaissances, nos valeurs et nos états émotionnels sont bien des constructions issues de nos aventures de vie personnelles et cet exemple aurait pu se conclure de mille autres façons en fonction des filtres perceptifs de chacun.  Il illustre néanmoins le processus de création d’une attitude (toujours dépendante d’un contexte) qui a pour objectif de préparer les individus à appréhender la réalité.

                                   

                                   

                                  Communiquer c’est agir

                                  Même si les attitudes peuvent devenir des automatismes, comme lorsque nous achetons systématiquement la même marque de savon, l’être humain passe systématiquement à travers  un processus de création d’une attitude avant d’agir. Et, comme toute action de communication est un moyen d’agir et de modifier le comportement de l’autre, il est logique que l’attituded’une personne qui communique influence la forme et le contenu de son message.

                                   

                                  Du style apathique au style empathique

                                  Dans cette perspective, il est intéressant de lister les différentes positions que peut adopter un managerdevant des feedbacksde collaborateurs. En déchiffrant les mécanismes de quatre attitudes[1] (« apathique », « antipathique », « sympathique » et « empathique »), nous vous proposons de réfléchir sur l’efficacité de la communication managériale.  En effet, devant un message inquiet d’un collaborateur, un manager pourra réagir de différentes façons en fonction de son attitude pour la personne et le message émis :

                                   

                                  Un collaborateur dit :

                                  « Je me demande comment nous allons faire pour gérer la masse de commandes avec l’installation du nouveau logiciel. Nous n’arriverons pas à gérer cette situation et il aurait peut-être été préférable d’engager plutôt que de changer le programme… »

                                  La déclaration du collaborateur dénote une attitude négative teintée d’inquiétude qui s’est construite à travers plusieurs filtres perceptifs : il sait qu’un projet va avoir lieu et que celui-ci sera difficilement compatible avec ses tâches (filtre cognitif) ce qui engendre en lui de l’inquiétude (filtre affectif) et une démotivation se concrétisant à travers une plainte (filtre comportemental).

                                  La réponse que peut apporter le manager sera plus ou moins efficace en fonction de sa propre attitude qui permettra ou non de faire évoluer le collaborateur sur les différents filtres perceptifs qui ont engendré son inquiétude.

                                   

                                  • Attitude apathique du manager

                                  Le manager répond :

                                  « Comme vous ne comprenez pas, je vous réexplique le déroulement du plan établi par la direction. En premier lieu nous prévoyons de faire ça, en deuxième lieu nous réaliserons ça, et enfin, nous conclurons par ça.»

                                  Ce que le collaborateur pensera probablement
                                  « Il m’a écouté » « Il m’a compris » « Il m’a aidé à évoluer »
                                  Non Non Non

                                   

                                  La communication est inefficace car elle ignore totalement  l’émotion de crainte du collaborateur. La réponse se borne à un discours technique et rationnel qui ne considère par l’interlocuteur comme un être psychologique.

                                   

                                  Filtre cognitif : le manager connait parfaitement les aspects techniques de son projet mais n’envisage
                                  pas les émotions que celui-ci peut susciter chez ses collaborateurs.

                                  Filtre affectif : le manager ne perçoit et ne partage pas l’émotion de crainte vécue par son collaborateur.

                                  Filtre comportemental : le manager n’est pas disposé à donner de l’importance à l’inquiétude de son collaborateur.

                                   

                                  • Attitude antipathique du manager

                                  Le manager répond :

                                   

                                  « Arrêtez cela. Vous n’avez aucune raison d’être inquiet. Vous savez bien que l’on a bien réfléchi à la question. Tout ira bien à condition que les équipes suivent ! »

                                  Ce que le collaborateur pensera probablement
                                  « Il m’a écouté » « Il m’a compris » « Il m’a aidé à évoluer »
                                  Oui Non Non

                                  La communication est inefficace car si l’émotion est bien comprise elle est toutefois rejetée sèchement. La réponse engendrera chez le collaborateur la frustration de ne pas avoir être compris.

                                   

                                  Filtre cognitif : le manager connait parfaitement les aspects techniques de son projet. Il est conscient que celui-ci suscite des émotions mais estime qu’elles sont injustifiées.

                                  Filtre affectif : le manager ne vit pas la même émotion de crainte vécue par son collaborateur et refuse de la partager.

                                  Filtre comportemental : le manager n’est pas disposé à accepter l’inquiétude de son collaborateur.

                                   

                                  • Attitude sympathique du manager

                                  Le manager répond :

                                   

                                  « Je vous comprends bien. Je suis moi-même inquiet par cette situation. »

                                   

                                  Ce que le collaborateur pensera probablement
                                  « Il m’a écouté » « Il m’a compris » « Il m’a aidé à évoluer »
                                  Oui Oui Non

                                   

                                  La communication est inefficace car, bien que les émotions et le raisonnement aient été compris et partagés, l’attitude sympathique n’est pas une réponse managériale due au fait qu’elle fige le collaborateur dans son inquiétude et ne lui permet pas d’évoluer.

                                   

                                  Filtre cognitif : le manager comprend les émotions que le projet peut susciter chez ses collaborateurs.

                                  Filtre affectif : le manager ressent la même émotion de crainte que son collaborateur et n’hésite pas à la partager sans réserve.

                                  Filtre comportemental : le manager est disposé à rassurer son collaborateur en ayant l’intention de partager ses propres émotions. Il n’envisage pas de répondre dans une perspective constructive.

                                   

                                  • Attitude empathique du manager

                                  Le manager répond :

                                   

                                  « Je vois que ce changement vous inquiète et c’est compréhensible. Laissez-moi pourtant vous  expliquez pourquoi je perçois les choses autrement »

                                   

                                  Ce que le collaborateur pensera probablement
                                  « Il m’a écouté » « Il m’a compris » « Il m’a aidé à évoluer »
                                  Oui Oui Oui

                                  La communication est efficace car le manager comprend parfaitement l’émotion de l’autre et l’accepte même si il ne la partage pas. Dans ce schéma de réponse, le manager réussit à répondre à tous les éléments de la perception négative du collaborateur.

                                   

                                  Filtre cognitif : le manager comprend les émotions que le projet suscite chez son collaborateur.

                                  Filtre affectif : s’il a pu se mettre à la place de son collaborateur, le manager ne partage néanmoins pas l’émotion de crainte vécue par son collaborateur.

                                  Filtre comportemental : pour lever la crainte de son collaborateur, le manager à l’intention de lui expliquer pourquoi il ne partage pas la même émotion même si il est capable de la comprendre.

                                   

                                  L’empathie dans une dynamique collective

                                  Nous avons illustré, ici, l’utilisation de l’empathie dans le cadre d’une relation un-à-un. Or, c’est la composante essentielle dans tout travail collaboratif au sein d’un groupe de travail. Qu’il s’agisse de réfléchir ou de décider ensemble, la gestion et la compréhension des  trois composantes est absolument essentielle pour développer un climat de confiance [2] et ainsi développer l’efficacité du groupe. Un manager s’engageant dans cette démarche se posera certainement les questions suivantes : Est-ce que chacun des collaborateurs autour de la table est en mesure d’écouter l’autre, de comprendre l’autre, de soutenir l’autre ? Suis-je capable, en tant que responsable, de travailler sur les trois filtres perceptifs constituant les attitudes de mes collaborateurs ? Comment aider mes collaborateurs à développer leur empathie pour améliorer les capacités de fonctionnement de mon groupe ?

                                  Enfin, l’empathie dépend souvent de nos connaissances et de nos sensibilités personnelles. Vouloir développer l’empathie dans ses relations collégiales c’est avant tout prendre conscience de la réalité des autres. Dès lors, l’écoute active, le respect et l’ouverture d’esprit peuvent toujours s’avérer utiles pour s’engager sur la voie de l’empathie…

                                   

                                  Christel Christophe et Lionel Barets, le 7 août 2013

                                   

                                   

                                   

                                  [1] Proposées par Patrick Légeron dans son ouvrage « Le stress au travail » (p. 266, 2001, Odile Jacob) offrant notamment une grille d’analyse sur la gestion managériale des émotions à partir de laquelle cet article est inspiré.

                                  [2] Référence à l’article « La confiance, une glue sociale indispensable pour développer l’efficacité ! »